1. Professeur particulier (2)


    Datte: 17/01/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... s’expliquait. La mère d’Anna nous a laissés tranquilles pour nos dix dernières minutes de leçon, durant lesquelles nous avons surtout repris nos esprits. C’était moins une ! Au moment de partir, je me suis rapproché d’Anna, posant ma main sur sa hanche, puis sa fesse.
    
    — On a eu chaud, ai-je dit. Je m’arrangerai pour que ça n’arrive plus. Je t’enverrai tes instructions dans la semaine.
    
    — D’accord Monsieur.
    
    Je n’ai pas pu m’en empêcher, je l’ai embrassée, remontant ma main sous son sweat-shirt pour saisir l’un de ses seins, glissant ma langue dans sa bouche qui avait encore le goût de mon plaisir.
    
    — Bon week-end, Anna.
    
    Et je suis parti.
    
    °°°
    
    COURS N°6
    
    Le matin du sixième samedi, j’étais allongé dans mon lit, et repensais à la relation que j’avais commencé à construire avec Anna. Une relation, il va sans dire, absolument pas professionnelle. Déontologiquement immorale. Merveilleusement perverse. Je me suis levé pour aller me faire un café. Pour une fois, j’ai pris mon temps pour déjeuner, en boxer sur mon balcon. Car aujourd’hui, je n’allais pas aller chez Anna. Non. Aujourd’hui, Anna allait venir chez moi.
    
    J’avais réussi à convaincre sa mère, deux jours plus tôt.
    
    — Il y a eu une fuite d’eau chez moi, lui avais-je dit, et l’ouvrier ne peut passer que samedi, mais il ne m’a pas donné d’heure. Si cela ne vous dérange pas, je peux prendre Anna chez moi pour sa leçon. J’ai un bureau, de l’espace, on y travaillera aussi bien que dans sa ...
    ... chambre.
    
    C’était faux, bien sûr. Pour le plombier, comme pour le bureau spacieux. Mon appartement était minuscule. Mais la mère d’Anna n’y avait vu que du feu. Je crois, sans vouloir paraître prétentieux, que j’avais fait bonne impression, et que j’aurais pu emmener sa fille n’importe où, elle me faisait confiance. Un bon point pour moi.
    
    Du coup, vers onze heures, j’ai entendu l’interphone sonner, et j’ai ouvert la grille de l’entrée quand j’ai entendu la voix d’Anna. J’avais tout de même pris la peine de m’habiller, un pantalon en toile et une chemise dont j’avais retroussé les manches, la chaleur étant encore au rendez-vous ces jours-ci. En ouvrant ma porte d’entrée, je m’attendais à voir la mère d’Anna qui l’accompagnerait, au moins pour savoir où sa fille mettait les pieds, mais visiblement, elle n’était vraiment pas méfiante.
    
    — Bonjour, m’a dit Anna avec un petit sourire en coin.
    
    Sans attendre plus longtemps, j’ai posé ma main sur sa nuque pour la tirer vers moi, puis ai posé ma bouche contre la sienne. J’ai sucé sa lèvre un instant, glissé ma langue contre la sienne, et seulement après, lui ai dit bonjour.
    
    — Désolé, m’a-t-elle dit alors que je la regardais de haut en bas, j’ai voulu mettre la tenue réglementaire, mais ma mère a piqué une crise, elle ne voulait pas que je sorte comme ça. Du coup, j’espère que ça vous va, comme je suis...
    
    Bien sûr que ça allait. Anna avait simplement remplacé la jupe par un petit short en jean, assez court, qui moulait son derrière à la ...
«12...789...12»