1. Professeur particulier (2)


    Datte: 17/01/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... no one gave them...
    
    Ma deuxième main est allée se poser sur son autre hanche également, et doucement, tandis qu’elle lisait, je l’ai tirée vers moi, jusqu’à ce que son sexe soit à quelques centimètres de mes yeux. Mes mains toujours sur elle, j’ai approché mon visage. Sentant mon souffle sur elle, Anna s’est arrêtée de lire, mais je lui ai soufflé de continuer.
    
    — ... not actually raining ? No. What is the Alley like ? There are two lines of...
    
    Oooooh...
    
    Je venais de poser ma bouche sur son sexe. J’avais été incapable d’y résister.
    
    — Keep reading, Anna, lui ai-je dit alors que mes lèvres étaient collées aux siennes.
    
    — Oh... OK, Monsieur. « There are two lines of old yew hedge, twelve feet high and... im... impenetrable... »
    
    Ma langue fouillait maintenant entre ses lèvres tandis qu’elle essayait, tant bien que mal, de poursuivre la lecture. Et j’étais prêt à parier qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’elle était en train de lire. Lorsque ma langue a commencé à titiller son clitoris, alors, la lecture a cessé, et les seuls sons sortant de la bouche d’Anna étaient ses habituels petits gémissements. Très vite, elle a carrément lâché le livre pour venir glisser ses doigts dans mes cheveux. Et très vite, j’ai lâché ses hanches pour venir glisser deux doigts dans son sexe. Les gémissements sont devenus de petits cris, et il n’a fallu qu’une minute avant qu’Anna se cambre, et jouisse contre ma bouche. Je ne l’ai pas lâchée pour autant, j’ai avalé tout son jus ...
    ... dégoulinant de son sexe directement dans ma bouche.
    
    Son clitoris était devenu ultra-sensible, si bien que lorsque j’en approchais avec ma langue, Anna, toujours les mains dans mes cheveux, me repoussait en me suppliant à coups de timides « Monsieur, s’il vous plaît... Monsieur... ».
    
    J’ai fini par la relâcher, et Anna s’est reculée légèrement, me laissant tout le loisir de l’observer. Elle était divinement belle. Ses joues rosies par l’orgasme, sa poitrine se soulevant encore au rythme de sa respiration saccadée, son sexe qu’elle ne cachait plus et qui brillait encore de plaisir.
    
    — Oh, a-t-elle fait soudainement, Monsieur...
    
    Elle avait les yeux braqués sur mon entrejambe. Je ne m’en étais pas rendu compte, mais je bandais comme un fou, et mon érection était bien visible au travers de mon pantalon.
    
    — Laissez-moi m’occuper de vous, Monsieur, m’a-t-elle alors dit en se mettant à genoux face à moi.
    
    Je n’ai pas eu le temps de lui dire quoi que ce soit, et d’ailleurs je n’en ai pas eu envie. Je l’ai regardée défaire ma ceinture, lentement, consciencieusement, puis faire sauter le bouton de mon jean, puis les deux autres. Elle a ensuite pris le temps d’observer mon boxer déformé avant de tirer dessus et d’en faire sortir mon sexe bandé. Je sais que c’est tout à fait futile, mais je n’étais pas peu fier des proportions de mes attributs. Si j’avais quelques complexes physiques, comme tout le monde, mon sexe n’en faisait pas partie. Et je me suis senti flatté en voyant ...
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