5 - Voyage à Sodome
Datte: 22/10/2019,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
grossexe,
amour,
Oral
69,
fsodo,
hsodo,
Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... tournant la tête de temps en temps vers la vitre Danièle le voit également, son pantalon de jogging descendu sur ses cuisses, sa main branlant sa queue à quelques centimètres de la vitre.
— Tu sais qu’il reste bien monté, malgré son âge. Regarde ! Baise-moi bien, la situation m’excite, oui, encule-moi devant lui.
Malgré l’étrangeté de la scène, et même si le gars en a effectivement une bien large, je décide d’en faire abstraction, me concentrant sur ce qu’il se passe à l’intérieur, lui confiant mon enthousiasme et mon plaisir d’être en elle, qu’elle me fait bander comme un âne en rut, que je la trouve irrésistible, qu’elle va me faire jouir dans plus très longtemps. Et elle me supplie en retour de l’enculer encore et encore.
Mon gland frotte son ampoule d’un sphincter à l’autre, et me semble aussi gros qu’un champignon, devenu brûlant par l’intensité des assauts, par la passion. Le rythme s’emballe graduellement, la pression dans mon ventre devient intolérable et l’éjaculation devient imminente. Les yeux rivés sur la queue de son voyeur, Dan passe sa main droite pour attraper mes couilles, plante encore plus les ongles dans mes fesses de sa main gauche, et m’intime l’ordre de jouir maintenant. En regardant à mon tour dehors, je vois l’homme qui écrase presque son gros gland violacé contre la vitre alors que sa main branle sa bonne hampe ...
... frénétiquement. Soudain, son foutre gicle et s’étale sur la baie vitrée, avant de former de longues coulées. Pour ma queue, c’en est trop, mon ventre se tord, et dans un cri rauque, mon dard se plante tout au fond du splendide cul de ma maîtresse en une série de spasmes surpuissants, libérant de longues giclées de sperme à chaque coup de rein, remplissant son admirable petit trou de toute ma reconnaissance.
— Oui, oh oui, jouis, vide-toi, c’est trop bon de te sentir au fond de moi ! Encore ! crie-t-elle en pressant mes couilles et en contractant ses muscles autour de ma queue, comme pour être certaine de m’avoir bien obligé à tout lui mettre.
Ses ongles lâchent enfin prise et son bras m’attire maintenant vers sa bouche ; ses yeux remplis de jouissance fixent les miens intensément, et alors que sa poitrine se soulève rapidement pour retrouver son souffle, elle me glisse :
— J’t’adore, grand fou. Merci
Incapable de faire le moindre geste, je savoure cet instant, nos odeurs flottant dans la pièce. Lorsque je me ressaisis, le cher voisin a disparu, ne laissant derrière lui que son sperme coulant sur la vitre.
ooOOOoo
À peine me reste-t-il la force de réfléchir. Patrick, toujours entre mes fesses a déjà sombré dans un sommeil réparateur. Plein de lui, de son sexe, de sa semence, je savoure une dernière fois mon bonheur et m’abandonne aussi au sommeil.