1. Dorothée 3


    Datte: 22/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le relieur, Source: Hds

    Dorothée 3
    
    Quelques jours se passent, je ne peux pas dire que l’envie de sexe ne se fasse pas sentir, surtout la nuit quand je me réveille, ou après que mon mari m’ai fait l’amour, toujours de façon aussi banale surtout après ce que j’ai goûté et surtout après les promesses de mon amant.
    
    Huit jours se passent et je suis déjà à cran. Quand je suis seule à la maison je ne supporte plus une culotte.
    
    Les enfants partis au lycée et le mari au travail, je passe beaucoup de temps le sexe à l’air et la main et les doigts dans la fente à me branler le clito et fourrager mon vagin. Combien de fois me suis-je jetée sur le lit ou le canapé, le cul à l’air, pour me doigter jusqu’à la jouissance, qui me laisse toujours insatisfaite !
    
    J’ai besoin de me sentir remplie, secouée, et l’idée de mon amant d’être prise par plusieurs hommes, de devenir un objet de sexe, fait son chemin dans ma tête tout comme le ver dévore la pomme de l’intérieur.
    
    Je lui téléphone plusieurs fois mais pas de réponse. De même quand je me rends en ville, la chatte en feu, pleine de désir, il n’est pas chez lui.
    
    Après plusieurs jours je suis sur le grill, je suis même à cran avec les enfants comme avec le mari, je suis irritable.
    
    Fin de semaine et toujours pas de réponse, ni par téléphone ni par mail.
    
    Mes deux plus grands m’annoncent qu’ils ont un voyage de classe d’une semaine, mon troisième, lui, est en pension, et pour clore le tout le mari part lundi pour une semaine de stage.
    
    Je vais ...
    ... rester seule quatre jours sans nouvelles de lui, et je vais devoir me branler comme une conne ! C'est trop bête.
    
    Si ça continue je vais me fourrer n’importe quoi dans la chatte pourvu que je me remplisse le vagin.
    
    Le lundi matin, après le départ de tout le monde, je téléphone, et là, oh surprise :
    
    - « Oui ma belle, tu es en manque. Quinze jours sans bite ça doit commencer à te démanger. Ça fait combien de jours que tu n’as pas lavée ta chatte ? ».
    
    - Je l’ai lavée tous les jours mais seulement avec de l’eau comme tu m’as montré ! Je peux venir j’ai trop envie ?
    
    - Pas ce matin, tu m’attends cet après midi, je veux que tu sois à poil, et moi je t’apporte de quoi t’habiller !
    
    - Oui mais les voisins ?
    
    - Comme on va repartir tout de suite, les voisins n’auront pas le temps de croire à quelque chose ok ?
    
    - Oui
    
    Je réponds timidement mais aussi très excitée déjà.
    
    J’ai passé la matinée nue, incapable de m’atteler à une tâche précise.
    
    Bien trop excitée à l’idée de ce qui allait se passer plus tard.
    
    Mon sexe nu coulait le long de mes cuisses et plusieurs fois j’ai du m’essuyer.
    
    Mon clitoris restait tendu et sorti de son capuchon, je n’avais qu’une envie, le branler jusqu’à l’orgasme.
    
    Durant tout le repas, les idées ont tourné dans ma tête, et puis quand la sonnette a retenti j’ai sursauté comme si je recevais une décharge électrique, et sans me soucier de ma nudité je vais ouvrir la porte.
    
    Ça pouvait être la voisine ou bien le facteur je n’ai pas ...
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