1. Chair fraîche 5


    Datte: 21/10/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... l’amour. Viens mon cœur. Je t’aime tellement. Serre-moi contre toi, viens en moi, je brûle d’envie.
    
    - Tu as vu l’heure? On verra demain. Bonne nuit, ma ché…. Le reste s’étouffe dans ma gorge. Avec une nausée remontent les mots de Julien: grosse salope, ma putain, truie en chaleur, ma vieille vache, trou à pines. Menteuse.
    
    - Quoi, qu’est-ce que tu baragouines?
    
    - Rien, dors.
    
    Très tôt, à six heures moins le quart le moteur de Julien me réveille. A sept heures notre réveil nous met sur pieds. Nous quittons la maison ensemble. Gina tire une tête longue comme ça, comme si elle avait une gueule de bois. Moi-même j’ai peu d’entrain. A midi mon retour inhabituel arrondit les yeux de Gina.
    
    - Que fais-tu là ? Je ne pensais pas te voir avant dix-huit ou dix-neuf heures, après ta sortie en charmante compagnie.
    
    - Ben non, ma voiture est réparée et je me suis pris un RTT pour te faire l’amour cet après-midi. Tu en avais tellement envie cette nuit, je n’ai pas résisté à tes appels au secours.
    
    - Alors à cinq heures tu seras présent pour la troisième séquence avec Julien ?
    
    - Tu persistes ? Tu veux continuer ? Tu as bu trop de bière, tu n’as pas compris? Toi et ton petit qui a une grosse queue foutez le camp! Plus jamais dans cette maison. C’est fini, si tu veux baiser avec ce petit, va à l’hôtel et quitte-moi.
    
    Quand après quatorze heures Julien est rentré, il a vu ma voiture, n’a pas crié « bonjour chérie » comme lundi. Il n’a pas claqué la porte de sa chambre et ...
    ... a certainement entendu en long et en large nos rugissements d’amour. J’étais en plein cunnilingus et Gina en plein délire ne l’a pas entendu revenir. Depuis plus d’une demi-heure je lui avais fait perdre la notion du temps. J’avais irrité ses tétons sucés, mordillés, pincés entre mes doigts, mordus. Ses seins étaient marqués de larges suçons malgré ses protestations vite calmées par l’agitation diabolique de mon index et de mon majeur dans son vagin dégoulinant. Je buvais la cyprine à la source, tétais avidement son clitoris, le torturais du bout de la langue, le maltraitais entre mes lèvres. Elle s’agitait, faisait des bonds et criait « encore mon petit » ou « suce ta maîtresse ».
    
    C’était l’heure de l’autre, mais aujourd’hui, la tête coincée entre les cuisses tétanisées de la maîtresse, la bouche qui lapait, les dents plantées dans ses petites lèvres, les mains agrippées à ses jambes nerveuses n’appartenaient pas au petit. Et je lui disais « ma belle » ou « mon amour » ou « ma vie » ou « Gina, ma chérie ». Elle ruait, voulait échapper à l’étreinte mais finissait par retomber. Entre ses seins marqués au rouge des suçons elle relevait la tête, me reconnaissait et repartait dans son chant d’amour.
    
    - Oh! Louis, que c’est bon, encore, encore, mais fais vite, sinon le petit va nous entendre
    
    Mes doigts repartaient en vagin, grattaient les parois portées au rouge vif à allure endiablée et arrachaient de nouvelles supplications, tantôt pour en demander plus, tantôt pour ...
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