1. Travaux chez l’oncle et la tante de Julien (1): Petite séance de masturbation


    Datte: 21/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Romainro, Source: Hds

    ... mal à faire sortir ma tige raide je me branle aussi un moment. Mais il faut reprendre le boulot surtout avant de saloper le sol avec notre sperme. Il fait quand même moins chaud sans le jean alors j’enlève aussi mon t-shirt et continue de bosser à poil. Julien fait comme moi en plus c’est plus simple pour se caresser quand nous retournons l’observer chacun notre tour.
    
    Cela fait un moment que je suis pas retourné à la fenêtre, ma queue s’en plaint alors je retourne au poste d’observation. Sandrine est plus là, elle a du retourner travailler. Je préviens mon pote, ouvre la fenêtre et malgré tout nous continuons à bosser nu. Le sol est recouvert de pans de papier peint, les murs sont presque brut quand la porte de la chambre s’ouvre brusquement et claque aussi tôt.
    
    Je regarde Julien avec un air interrogateur, car il me semble avoir vu Sandrine en peignoir. C’était bien elle puisque nous l’entendons dire:
    
    « Pourquoi vous êtes à poil???? »
    
    Un peu gêné, je bredouille:
    
    « Avec la machine à vapeur, on a eu l’impression d’être dans un sauna alors… »
    
    Après un moment de silence, elle nous répond:
    
    « Pas la peine de me prendre pour une conne, vous vous masturbiez en me regardant bronzer! »
    
    Mon pote regarde son sexe tendu et gonflé puis le mien qui est dans le même état et répond, encore plus mal à l’aise qu’elle:
    
    « Oui…. on t’a vu… mais on s’est vraiment mis à poil à cause de la vapeur! »
    
    La porte s’ouvre en grand, Sandrine rentre dans la pièce et nous ...
    ... observe des pieds à la tête. Elle ouvre son peignoir et nous dévoile son corps de plus près. Une fois que nous l’avons bien reluqué, elle nous lance.
    
    « Vous y connaissez vraiment rien, ça fait hammam pas sauna! Continuez à travailler pendant que je fais du bien à ma peau. »
    
    Elle va vite refermer la fenêtre.
    
    Bien que nous continuons à faire tomber le papier peint par terre, nous ne pouvons nous empêcher de temps en temps tourner la tête. Sandrine à étalé son peignoir sur une table en bois et s’est allongée dessus. Rapidement son corps se met à ruisseler autant que les nôtres et ça la rend encore plus désirable. Ma queue est tendue au maximum, j’ai très envie de me branler et me vider devant ce merveilleux show mais je m’abstiens.
    
    Au bout d’un moment, elle brise le silence en nous demandant avec une voix très calme:
    
    « Vous m’avez vu pendant que je me donnais du plaisir, n’est ce pas? »
    
    Après un moment d’hésitation nous lui répondons, sans la regarder, par la positive.
    
    « Bon alors je peux continuer! »
    
    Nous osons à peine jeter des coups d’oeil sur son entrejambe recouverte par ses doigts.
    
    Une fois que nous avons posé les outils et que nous lui faisons face, elle ajoute:
    
    « Vous ne faisiez que regarder? »
    
    A cette époque, j’avais déjà plus d’aplomb avec les femmes que mon pote alors en m’approchant de sa tante, je lui avoue:
    
    « Non, nous aussi on se branler. »
    
    « Alors, qu’est ce que vous attendez? Continuez! »
    
    Nous nous regardons rapidement et ...