La petite femelle (1)
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: De Bréville, Source: Xstory
“La petite femelle”, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire “Sa majesté la salope”. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.
Commençons par vous faire connaître mon penchant pour l’exhibitionnisme. C’était il y a presque dix ans…
J’ai passé la journée avec deux copines. Je veux rentrer chez mes parents en auto-stop (oui je vis alors encore chez mes parents). Il va bientôt faire nuit et ce serait cool qu’une des prochaines voitures s’arrête…
— Yes ! C’est gagné ! La voiture a l’air pourri mais le chauffeur est pas mal.
Ce qui m’interpelle le plus chez un homme, ce sont ses mains. Pour moi, elles sont très évocatrices. Je les aime grandes, j’aime les mains d’hommes manuels. Elles évoquent sa sensualité, son sens créatif, sa force, sa puissance. Et celui-là à de belles mains…
Je ne suis pas sensible aux gravures de mode ambulantes, j’aime les hommes à l’allure équilibrée, plutôt solide, rassurante et protectrice. Celui-là est ...
... un costaud ! Je suis très sensible aux hommes charismatiques, intuitifs, spontanés, ayant une bonne estime d’eux sans être narcissique. Nos premiers échanges montrent que j’ai tiré le bon numéro…
Au bout d’un quart d’heure, sa voiture tombe en panne. Non, non, pas du genre que vous imaginez : une panne véritable. Ma première impression était la bonne : cette caisse était vraiment gâtée. Heureusement, nous ne sommes plus très loin de mon village et nous décidons de couper à pied par la plage. Cette promenade à la tombée de la nuit me ravit. Il est vrai que le site est splendide et les couleurs enchanteresses. Mais au bout de quelques minutes, mon pied glisse sur un rocher et je me retrouve assise dans une flaque d’eau de mer. Une fois le premier juron passé, la situation me fait bien rire. Lorsque je suis relevée, je dis au mec :
— Ma culotte est trempée, c’est très désagréable, je préfère l’enlever ! Vous pouvez vous tourner.
Il reste une seconde interloqué, ne sachant pas vraiment si je suis sérieuse, mais il finit par pivoter. Nous longeons ensuite toute la plage. Je suis certaine que je l’excite et qu’il commence à se poser tout un tas de questions. Mes sandales dans une main, ma culotte dans l’autre (un petit string noir que je fais tournoyer pour le faire sécher), et ma robe mouillée collée sur mes fesses doivent être très appétissantes…
Au bout de la plage, un petit sentier très pentu et parsemé ça et là de quelques marches d’escalier rudimentaires, grimpe ...