1. Un soir en forêt


    Datte: 21/10/2019, Catégories: fh, forêt, voiture, odeurs, Oral pénétratio, amourpass, extraconj, Auteur: Leo et Scorpio, Source: Revebebe

    ... forêt.
    
    Quelques minutes plus tard, il la fit se redresser et se mit à son tour à genoux, glissant ses mains sous la robe pour remonter jusqu’à la taille. Il était totalement obsédé par la beauté des jambes de cette femme qui allait dans quelques minutes, s’offrir à lui sans réserve. La bouche collée aux collants, il remontait le long des cuisses puis il décida de lui baisser ce maudit collant à mi-cuisses pour pouvoir découvrir cette chatte richement fournie et déjà trempée de désirs. Il plaqua sa langue sur ce sexe si parfumé et si enivrant pour venir goûter, sur le bout de sa langue, à ce nectar intime si grisant.
    
    Impatiente de le sentir en lui, elle le fit se redresser. Il la retourna, se plaqua dans son dos, et la fit légèrement écarter les jambes pour pouvoir s’ouvrir l’accès à son fourreau où il désirait tant venir glisser sa dague. Les mains collées sur ses hanches, il la pénétra doucement, tendrement, pour mieux profiter de chaque centimètre de ce plaisir dont il ne se lassait jamais. Légèrement penchée en avant, elle bougea son bassin en arrière, vers son amant, pour être encore plus vite rempli de lui.
    
    Le fond de l’air était doux. Le fond de son corps était doux et humide et il allait et venait, sentant sa queue toujours plus dure à chaque passage, sentant sa chatte plus trempée et réceptive à chaque mouvement. Elle haletait d’un plaisir inattendu qu’elle ne pensait pas connaître dans cette position qu’elle n’avait guère eu l’occasion de pratiquer avant. ...
    ... Lui non plus, d’ailleurs. Qu’importe. Remontant les mains le long de ses flancs, il atteignit très vite les seins de sa bouillonnante maîtresse, lui pétrissant la poitrine comme si sa vie en dépendait. Cette prise en mains presque brutale procura à la femme un violent plaisir proche de l’orgasme.
    
    Il aurait bien aimé la coucher sur le capot de la voiture, lui relever les jambes jusqu’à l’extrême pour mieux la baiser, et mieux jouir de la vision du corps de son amante. Mais ledit capot était très sale, et interdisait toute initiative de ce genre.
    
    Elle se dégagea doucement de l’étreinte de son amant, ouvrit la porte arrière de sa voiture, et vint s’allonger sur les sièges arrière. Elle enleva une jambe de son collant pour faciliter les choses et se cala bien au fond, contre la portière, les cuisses impudiquement écartées, prête à recevoir de nouveau les coups de reins de son homme.
    
    Il ne se fit pas prier pour s’allonger sur elle, et venir la pénétrer tendrement, au plus profond d’elle, en lui remontant les jambes autant qu’il pouvait. Il pouvait aussi l’embrasser, goûter ses lèvres si douces sur son visage si beau, surtout quand il était marqué du plaisir qu’elle prenait. Ils n’étaient plus qu’un, faisant l’amour en dehors du temps et de l’espace. Le plaisir était intense. Elle était totalement à la merci de son amant, explosant toutes ses capsules de bien-être à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. Il se redressait parfois, pour pouvoir mieux la regarder, mieux lui ...