On est perdu
Datte: 21/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Crabou, Source: Hds
... poitrine, ouvrant franchement mon chemisier au passage. Ensuite, une d’entre elles se glisse sous ma jupe qui remonte, ne couvrant plus grand-chose de mes cuisses, et se pose sur mon sexe.
Lorsque le garçon vient prendre la commande, il ne retire pas ses mains mais au contraire en profite pour m’embrasser. Autour de nous, les regards se font plus insistants et cela semble donner des idées à d’autres car les corps se rapprochent et les bisous se font plus nombreux dans le voisinage.
- Tu te souviens que tu as un gage à recevoir ?
- Euh oui mais….
-
Sortant du sac qu’il avait pris dans le coffre de la voiture une cravache terminée par un lacet de cuir effiloché, Robert ajoute :
- 15 coups de cette cravache, 10 sur les fesses, 2 sur les seins et 3 sur l’avant des cuisses et sur le pubis.
- Ce n’est pas faisable ici !
- Tu as raison. Je te propose donc de subir ce gage à l’extérieur nue couchée sur le capot d’une voiture et Jacques officiera s’il accepte.
-
Je reste un peu interloquée par la « proposition « . Jacques passe sa main sur la cravache, me regarde droit dans les yeux et répond :
- Pourquoi pas !
- Pour vous remercier de votre participation, vous pourrez baiser Christelle toute la nuit autant de fois que vous le souhaitez et comme vous le souhaitez. En plus, vous pourrez utiliser sur elle tous les instruments dont nous disposons (fouets, bougie, pinces, cordes à nœuds, etc…).
Un long frisson me parcours le corps. Cela m’arrive ...
... parfois d’être prêtée à d’autres par mon mari pour des jeux de soumission. J’aime être soumise et la découverte d’un nouveau maître ajoute toujours du piment au jeu.
Je me lève et le suis dehors. La scène n’a pas échappé à nos voisins et en plus Robert a parlé suffisamment fort pour qu’ils entendent. C’est donc accompagnée de quelques personnes que je me retrouve dans la rue. Heureusement, il fait noir maintenant et il n’y a pas grand monde qui passe.
Jacques me guide vers notre voiture garée dans une rue d’adjacente. Une fille qui était sortie avec nous s’approche de moi.
- Je vous admire pour votre courage. Cela m’excite beaucoup. Je peux vous aider à vous déshabiller.
- Merci, oui bien sûr.
Elle m’enlève mon chemisier et en profite pour passer sa main sur mes seins puis retire ma jupe et caresser ma croupe. Elle me donne un petit bisou sur les lèvres et me chuchote :
- Bon courage.
Je me couche sur le capot, exposant mes fesses. Je tourne la tête pour voir Jacques. Je sens qu’il va prendre sa tâche à cœur et qu’il ne sera pas tendre avec moi. Je n’en ai pas envie non plus d’ailleurs.
Un premier coup frappe ma fesse gauche, assez doux. Les suivants tombent rapidement, plus durs. Je ne pousse qu’un petit gémissement à chaque coup. Mes fesses me brûlent délicieusement, je frotte ma poitrine sur le capot de la voiture. Visiblement, ce n’est pas la première fois qu’il manille la cravache car les coups sont juste appuyés comme il faut pour faire de l’effet ...