1. Mon premier voyage de femme « libre »… 19° partie


    Datte: 20/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... Je peux entrer ? »
    
    Il était plutôt mignon. Une trentaine d’années. Un brun tout bouclé. Son sourire me fit craquer et je le laissais entrer.
    
    Je lui proposais de s’asseoir sur le balcon pendant que je préparerais le café. J’ajoutais que je devais mettre quelque chose de plus décent pour recevoir convenablement mon invité.
    
    « Oh, ce n’est pas nécessaire. Vous savez, votre corps ne m’est pas inconnu. Vous êtes trop belle. C’est pour cela que je suis venu. Je tenais absolument à vous voir plus près et je ne suis pas déçu. »
    
    Il était craquant.
    
    Ma serviette ne cachait pas grand-chose, mais je ne pouvais pas reculer.
    
    « Je m’appelle Alain et vous, quel est votre prénom ? »
    
    « Éva ? Ce prénom espagnol vous va à merveille. Vous avez des origines ibériques ? »
    
    Pendant que nous dégustions, nous parlions de tout et de rien. Une tension sexuelle se mettait en place. Je voyais Alain qui se trémoussait sur sa chaise, à l’étroit dans son pantalon. Il est vrai qu’une fois assise, il avait une vue directe sur ma vulve. Je m’en amusais. Nous bûmes un second café.
    
    Alain se leva pour s’approcher de la rambarde. Croyant que je ne l’avais pas vu il me montra la fenêtre de son appartement. Je me levais pour regarder. Il y avait une superbe verrière sur le côté.
    
    « Oui, c’est mon atelier. Je suis peintre. Cette verrière m’offre une superbe lumière pour travailler. »
    
    Je lui parlais de Paul, mon mari photographe qui aurait adoré avoir un tel atelier pour ses photos.
    
    « ...
    ... Éva, il faudra absolument que vous veniez voir mon atelier d’artiste. J’adorerais vous peindre. Vous êtes si sexy. »
    
    Tout en parlant, Alain s’approcha de moi et vint se positionner derrière. Il posa ses mains sur mes épaules. Un frisson me traversa tout le corps. Malgré la douceur de la température, j’avais la chair de poule. Je pouvais sentir son souffle dans le cou.
    
    Ses mains descendirent jusqu’à mes hanches. Mon sexe était déjà trempé de désir. Voyant mon absence de réaction, il s’aventura davantage. Il m’embrassa dans le cou. Ses mains descendirent pour atteindre ma peau nue qu’il caressa. Sa peau était douce. Je me surpris à me cambrer tout en écartant les cuisses.
    
    Alain s’en aperçut et je sentis ses doigts écarter mes fesses pour atteindre ma vulve trempée. Il me poussa à me cambrer davantage pour que ses doigts puissent s’occuper de mon bouton gonflé de désir. Il ne fallut que quelques pressions pour que jouisse une première fois. Je serrais fort les cuisses et emprisonnais fermement sa main pour garder ma jouissance encore quelques secondes.
    
    Alain se servit de son autre main pour venir empaumer mon sein gauche et titiller mon téton gonflé et durci par le désir.
    
    La serviette tomba. J’étais nue sur le balcon avec un coquin très excité derrière moi. Je sentais sa respiration s’accélérer. Il dégagea sa main, défit son pantalon et je le sentis sortir son sexe pour le positionner contre ma vulve.
    
    « Oh Éva… » Il me pénétra d’un coup. J’étais surprise sous ...
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