Mon ami Didier (1) - Histoires de Sexe

Mon ami Didier (1)

... avait un goût sucré et salé. En même temps, les contractions anales de mon ami me tenaient les doigts. Et son corps en délire a essayé d'échapper à mon empire. "Oui...oui...oui..." Et j'entendais un long gémissement: - « ooohhhhh! » Et j'ai bu tout le sperme qui a inondé ma bouche.

Malheureusement, cette massage s'est arrêtée là. Et au bon moment. Laura venait d'arriver avec des amis. Plus tard, Didier et moi nous avons rejoint les autres pour le dîner. L'autre jour, nous sommes partis tôt. Le voyage sur le site archéologique a été long. Plus de 450 km en voiture. Au début de l'après-midi, nous sommes entrés dans les pistes qui ont conduit au site des fouilles. Nous avons dormi épuisés dans le camp. L'autre jour, nous avons travaillé dur. Mais pendant l'intervalle, Carlos me demanda: Où il y a deux il y a place pour un troisième? - J'ai répondu: "Il n'y a pas de 'tiers exclus' parmi nous.

La journée était longue. Les fouilles ont été fructueuses. Didier, Carlos et moi avons marché jusqu'au camp. Nous avons choisi de rester quelque part plus loin, près de la rivière. La nuit était bleue. Le ciel était dégagé, comme il est courant dans les montagnes. Les étoiles semblaient proches des arbres. La lune était un éclair dans l'eau. Et la brise portait l'odeur de la terre chaude.

Sans cérémonie, je me suis déshabillé. Nu, je pouvais sentir le changement de température entre la terre et l’air. Un sentiment d'éloignement de la vie quotidienne. Carlos suivit mon geste. Alors ...

... qu'il se déshabillait, il regardait Didier avec insistance. Le désir de Carlos pour Didier m'a excité et a encore accru mon propre désir. Je me suis approché de Didier et je l'ai aidé à enlever sa chemise. Puis j'ai desserré la ceinture de son pantalon et détaché ses baskets. Les yeux de Carlos brillèrent. Il allait bientôt voir Didier nu. Nous nous sommes nus pendant la nuit chaude. Et notre nudité a été renforcée par les contours créés par la lumière argentée. Et en silence, nous sentions le poids de nos membres.

Au clair de la nuit, nos bâtons durs se balançaient dans l’espace. L'un à côté de l'autre, c'est comme si l'espace était une continuité de nos corps. Nous nous sommes sentis dessinés, enveloppé dans un brouillard magnétique. Et je laisse mon sexe toucher le sex de Didier. Et je pouvais sentir la texture de sa poitrine velue. Et ses mamelons hérissés ont touché les miens. Animaux dans les bois pris par la force de la terre. J'ai pris Didier dans mes bras. J'ai entendu son souflle s'interrompre. Nos membres épais ressemblaient à un. Je glissai mes mains dans son dos. Et je pourrais caresser ce cul blanc et lisse. Et Carlos regardait tout. Il ressemblait à un cheval noir qui voulait se débarrasser des amarres. Son énorme bite a semblé indocile.

Je murmurai à l'oreille de Didier que Carlos voulait le pénétrer. Il acquiesça légèrement. Il était prêt à tout. Toujours doux et calme. Mon ours était curieux, il n'a donc pas bien calculé les dangers qui l'entouraient. ...