1. Excédée, elle me saute dessus et s'empale


    Datte: 19/10/2019, Catégories: fh, inconnu, nympho, fépilée, train, fdomine, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral Auteur: David Blonfali, Source: Revebebe

    ... m’arrête. Je suis noyé parmi les passants. Je réfléchis qu’ils n’ont de toute façon pas mon nom, mon adresse, rien. Il n’a aucun moyen de me retrouver ! Je me calme un tantinet.
    
    Rentrer-maison. Machinalement j’attrape la rampe d’un escalier qui s’enfonce vers le métro. Je descends une marche, m’arrête, immobilisé par un spectre. Et si je la recroisais dans le métro ? Aucune chance… Malgré tout, j’irai à pied chez moi, c’est un peu loin mais c’est beaucoup plus sûr. Et puis une longue promenade ne sera pas de trop pour me faire digérer tous ces événements.
    
    Quand même… T’y crois, toi, à l’explication du garde du corps ? Non mais, une fille comme ça, un gars comme moi… Je retourne l’histoire dans tous les sens, j’ai un peu l’impression qu’il s’est bien foutu de moi.
    
    Enfin je sais pas, mais si elle a des envies, elle doit avoir d’autres moyens. Et puis on fait du bel outillage maintenant pour femmes seules ! Vu l’usage restreint qu’elle a eu de son nullos de service, c’aurait pas fait une grosse différence… Ouais, il s’est peut-être foutu de moi mais en même temps, je trouve aucune autre explication à cette histoire de fou.
    
    Et… j’ai risqué ma vie pour de vrai dans cette histoire tu crois ? Et s’il était débarqué le monsieur Rignotti en plein polissage de sa douce ? Tu crois qu’il m’aurait classé parmi les amants présumés ?
    
    … Tout ça me paraît tellement surréaliste à présent… Finalement, est-ce que c’est bien arrivé ? L’absence de slip et une trique entêtée ...
    ... m’assurent que oui.
    
    Je marche toujours. Mon pas se fait moins noué, moins empesé. Au rythme des carrefours que j’efface et des boulevards que je traverse, mes idées s’organisent. Je me débarrasse petit à petit de ma peur panique, du mari jaloux d’abord, puis de cette nana hors classe.
    
    Je respire bien à fond. Quel bonheur de sentir cette pile de briques s’envoler de son ventre !
    
    À chaque trottoir que je quitte, je dépose un bout d’angoisse. À chaque bouche d’égout que j’enjambe, je détortille mes tripes d’avantage. Je redresse les épaules, mon regard, qui jusqu’alors sirupait maladivement le long du caniveau, se relève. Il porte haut. Des pigeons qui volent dans le ciel clair, un cycliste bien urbain qui filoche clope au bec, une jolie femme qui passe…
    
    Une femme… Des femmes… il y en a partout des femmes à y bien regarder ! Sortant de mon songe, j’y bien regarde. Avec curiosité, je parcours le chamarré qui m’environne. Ce défilé multicolore et multisexe me réveille tout à fait.
    
    Et c’est alors … ! C’est alors que sans crier gare, tandis que je remarque un délicat coup de pied émergeant d’un chaste mocassin, je me fais déferler dessus une puissante vague d’érotisme. Attention ma Gaillarde ! Pas la vaguelette qui t’éclabousse ! Que c’en est fini avant même que t’aies compris ! Ouhla non ! L’eau que j’te dis, ça se revendique du tsunami. Un raz-de-marée version apocalypse !
    
    Tu peux bien imaginer aussi que ma bite a fini par en avoir marre de se voir imposer le salut ...
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