Gonflée
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
magasin,
essayage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
fsodo,
totalsexe,
Auteur: Alain.40, Source: Revebebe
L’heure de fermeture vient de sonner dans ma parapharmacie. Mais la barbe, au dernier moment, une représentante, Sonia, vient me visiter. C’est une nouvelle. Avant j’avais un vioque de soixante balais, qui vient de prendre sa retraite.
Je ne connais pas toutes ses compétences, mais comme beaucoup dans le métier, je sais pourquoi elle a été recrutée. Ils sont malins les DRH : plus elles sont belles et sexy, moins on ne sait dire non à leurs propositions qui ne sont que commerciales ! Elle présente une gamme de collants et bas. Pour bien les présenter, elle en porte une paire sur ses longues jambes, potelées, mais pas trop. Quelle aberration ! C’est comme mettre une bâche sur un tableau de Van Gogh.
12 h 30 sonnent, les employées quittent le magasin. Nous voilà seuls. Sonia continue son travail alors que le rideau est tombé. Ça ne la dérange pas que je n’aille pas déjeuner. J’ai les crocs ! Et elle me donne sacrément faim. Elle se penche pour prendre des catalogues dans son sac de présentation. La jupe noire est bien ajustée et laisse apercevoir des rondeurs délicates. Son fessier semble ferme et augmente mon appétit. Elle se penche un peu plus et… la jupe étant un peu courte, on voit apparaître la bande de maintien de ses bas puis quelques centimètres de peau. Elle est sacrément canon. Je ressens l’excitation de mes quinze ans, quand dans le métro, une femme s’est assise à mes côtés et a laissé apparaître le haut de ses bas. Tout de noir gainée, elle fut mon premier ...
... souvenir de bandaison sur des dessous. Juste sur un souvenir, il pourrait me prendre l’envie de m’isoler quelques minutes et de me faire plaisir… Mais je n’ai pas fini mon histoire.
Ses seins sont petits, à Sonia. On ne les voit même pas par l’embrasure de son chemisier transparent. C’est sûrement pour cela qu’ils ne sont pas emprisonnés par un soutien-gorge. Ses lunettes lui donnent un côté sévère très fantasmant, genre bibliothécaire qui va me punir, car je n’ai pas été très sage…
Elle se retourne et passe près du bureau et oups… maladroitement, elle s’accroche, et son bas se file ! Quel comble ! Mais ayant du stock, je lui trouve vite une paire neuve que je lui tends. Je les ai choisis moi-même : des clairs, très satinés limite brillants, et doux au toucher. Elle va se changer dans la petite salle réservée aux essayages, salle entourée de plusieurs miroirs pour pouvoir se regarder. J’imagine qu’à chaque fois qu’elle passe devant un miroir, elle se regarde et est contente de la ligne qu’elle entretient. Elle peut en être fière.
Je la laisse, puis m’aperçois qu’elle n’a pris qu’un bas de la paire que je lui ai tendue. La porte n’étant qu’à moitié fermée, je me permets d’entrer… Oups ! elle était en culotte… Une petite culotte rose, avec un tissu en dentelle transparent laissant deviner un fin duvet brun. Elle était la plus gênée. Ne sachant quoi faire, elle a mis deux minutes avant de me dire merci pour le bas. Pendant cet instant, je lui ai maté les jambes… sa peau ...