1. La Sainte Claire


    Datte: 19/10/2019, Catégories: fh, inconnu, magasin, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral pénétratio, Auteur: Alain C, Source: Revebebe

    ... courbes. Arrivées une nouvelle fois à hauteur de ses seins, mes mains s’appuient sur le fin voile avant de recevoir le courant de sa chaleur en mon être. Je sens alors dans mes paumes toute la fermeté de ses seins dressés. Ce que je mime l’instant d’avant prend forme sur son corps. La soie du tissu est une caresse en elle même. Les seins de cette femme caressent mon esprit de leur douceur. Nos images sont renvoyées par le miroir. Mes mains pétrissent ses formes de désir. Elle a enflammé mon corps, mon esprit et mon âme. Elle est magnifique. La parcourant de mes mains, je lui souffle dans l’oreille.
    
    — Vous n’avez pas besoin de ça pour être belle.
    
    Ce faisant, les bretelles tombent nonchalamment au bas de ses épaules, alors que la combinette glisse dans un doux bruissement le long de son corps qui se dénude.
    
    — Regardez comme vous êtes belle. Vos épaules sont frêles et douces.
    
    Et ce faisant, je les caressais en douceur.
    
    — Regardez vos seins. Ils sont magnifiques.
    
    Et ce faisant, je les empoignais tendrement.
    
    — Regardez vos hanches. Elles sont fines et délicates.
    
    Ce faisant, j’en embrassais chacun des cotés.
    
    — Regardez votre ventre. Il est rondeur de féminité.
    
    Ce faisant, j’y déposais des baisers délicats.
    
    — Regardez vos jambes. Elles sont longues et satinées.
    
    Ce faisant, j’en caressais leur longueur des deux mains.
    
    — Regardez-vous. Vous n’avez besoin d’aucune lingerie pour être désirable.
    
    Et ce faisant, je faisais glisser le charmant ...
    ... dessous jusqu’à ses talons aiguilles.
    
    Le miroir renvoie sa nudité sans déformation. Mes doigts aspirent sa beauté des pieds à la tête. Ma bouche s’imprègne du parfum de sa peau, tandis que ma langue en goûte la saveur.
    
    J’éprouve, à cet instant, une impression indéfinissable, une vague d’excitation qui me hérisse le poil. Malgré mon self-control, je sens une coulée de lave m’envahir les reins. Personne ne pouvait résister à son magnétisme sexuel.
    
    Elle pose la pointe de son escarpin droit sur une chaise. Son regard plonge dans le mien avec un drôle de sourire. Pas besoin de longue phrase. Je m’agenouille à ses pieds. Mon esprit vagabonde fugitivement, une dernière barrière se dresse, faut-il arrêter là ? On peut encore renoncer, se séparer et en rire, comme une bonne blague que l’on se serait jouée. Rien n’est consommé. L’inconnue a dû sentir mon hésitation, car elle appuie encore un peu plus son sexe contre moi, m’invitant à y plonger ma bouche. Geste que je fais. Là, elle laisse échapper un faible murmure inintelligible que je m’empresse d’interpréter comme un encouragement.
    
    Je pose mes lèvres sur celles de sa chatte. Je respire l’odeur douce de son corps tiède, où pointe à peine celle un peu plus pimentée de son sexe. J’embrasse sa vulve du haut en bas, et ma langue, en remontant, parcourt la fente de son sexe légèrement béant, le clitoris pointant un peu entre les lèvres.
    
    Oh, toi, petit clito, ça va être ta fête ce midi ! Je remonte jusqu’à son clitoris. Madame se ...