Surprenantes vacances
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
fplusag,
fagée,
vacances,
sauna,
massage,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
occasion,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... son doudou coloré sur une poitrine lourde mais libre. Je rends hommage à ses formes ainsi qu’à son application en brandissant mon gland le plus qu’il m’est possible. Son sourire est de courte durée car elle le prend en bouche délicatement. Sa fellation est goulue et douce à la fois, Lucie fait attention à ne pas s’appuyer sur l’épiderme rouge écrevisse. Je me laisse bercer par la chaleur de sa langue avant de lui ordonner de se mettre à quatre pattes. J’ai dit ça sans réfléchir, sur une envie subite. Elle n’a pas paru surprise et s’est mise en position de bonne grâce en m’assurant qu’elle était ravie de ce revirement soudain. Je remonte l’étoffe aux motifs africains sur son dos pour découvrir un fessier large mais pas fripé. Ce qui me surprend – pas tant que ça en fait –, c’est l’absence de lingerie.
— J’espère que tu n’es pas déçu, ajoute la pipelette en remuant ses fesses.
Ma seule réponse est de venir écarter ses chairs pour me plonger dans les poils blancs et soyeux qui entourent son intimité. En même temps que je lape son entre fesse, je rêve à Hamid, que j’aimerais qu’il me fasse la même caresse. Les doigts poussant ses fesses, j’investis, profondément son fondement d’une langue perverse. Je ne m’occupe plus de son sexe, je suis obnubilé par son muscle brun. Lucie, entre deux gémissements, éructe sur le caractère cochon de mon intrusion. Son goût du bavardage ne cesse jamais, ce n’est pas si désagréable puisque je sais en direct si mes caresses lui conviennent. ...
... Pas de grossièretés ou d’ordres à la prendre ne sortent de sa bouche, uniquement des commentaires sur ce qu’elle ressent.
Je finis par me redresser et pointer mon sexe en direction de son orifice rendu baveux. Je n’ose lui demander son consentement, elle ne s’embarrasse pas et recule son postérieur vers ma tige. Je plonge avec lenteur dans le boyau accueillant, Lucie a maintenant le souffle rauque. J’ai l’impression que sa voix a mué, les mots lui viennent moins vite, le souffle est court, il est plus difficile de parler tandis que je la pistonne virilement. Je sens ses doigts courir sur son clitoris et parfois elle attrape mes testicules pour que je reste quelques secondes ancré en elle. Je regarde sa raie, me régale d’entrer et sortir mon casque pour voir son anneau frétiller, je me surprends à l’envie d’être à sa place et de sentir la poigne du masseur sur mes hanches. Il ne m’en faut pas plus pour m’épancher. Je n’arrête pas les mouvements de mon bassin pendant que j’éjacule abondamment. Ma tige est sensible mais je ne cesse de bouger, madame n’a pas atteint l’orgasme et je veux qu’elle aussi prenne du plaisir.
Mon sexe redevient dur, très dur et je change de fourreau. Je plonge dans son vagin bouillonnant sans aucun effort. À ce moment-là, Lucie ne parle plus, sa bouche n’éructant que cris et gémissements. C’est la première fois que je réussis l’exploit de continuer à limer sans un laps de temps de repos.
Je me sens Superman, j’alterne les angles de pénétration ...