1. L'éducation d'Hélène (2)


    Datte: 19/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: cfe, Source: Xstory

    Nous avions dans le collimateur un antiquaire soupçonné de receler et revendre des œuvres d’art volées...
    
    Hélas comment le prouver, nous n’allions quand même pas le cambrioler pour trouver les papiers le confondant, imaginez le scandale.
    
    Nous savions qu’il passait ses documents à la broyeuse et ensuite qu’il les mettait à la poubelle. Il était tellement précautionneux qu’il déposait sa poubelle juste avant l’arrivée des éboueurs, et même parfois, il lui arrivait de les attendre...
    
    La seule solution était de soudoyer les éboueurs... c’était presque toujours la même équipe. Je me suis mise donc à les filer jusqu’à l’entreprise qui les embauchait... lorsque je les vis sortir tous les trois, je les abordais, leur proposant de leur offrir un café que je devais leur parler. Bien sûr, c’était des hommes plutôt peu raffinés qui ne se gênaient pas pour regarder mes formes, même sourire, en se donnant de coups de coude
    
    Plus ou moins discrets... le chauffeur était noir, plutôt petit, assez gras, les deux autres, des blancs assez vulgaires plutôt muscles vu le travail assez physique qu’ils exerçaient mal rasés mal habillés...
    
    Je dois avouer que cette situation me troublait qu’ils m’attiraient. Mais pourquoi cette attirance vers tous ces hommes qui devraient normalement me répugner, sur lesquels je ne devrais même pas porter le moindre regard la moindre attention. J’étais honteuse de ce que je ressentais, mais tellement excitée.
    
    Assis tous les trois à une table, je ...
    ... leur ai expliqué mon travail d’enquête, et je leur ai exposé mon problème et leur demande s’ils acceptaient de détourner le contenu de la poubelle papiers de Mr X et quelles seraient leurs conditions ?
    
    De plus, je n’avais parlé à personne de mon initiative et je ne savais pas quel budget je pouvais consacrer à cette action.
    
    Ils ont accepté, mais pour les conditions, le prix était MOI !
    
    Abasourdie par une telle audace, figée, mais troublée, folle, honteuse, je ne répondais pas et le noir qui semblait être le chef a pris la parole
    
    Tu nous appartiens une nuit entière tous les trois une nuit avant une nuit après. CETTE NUIT... Il me tutoyait, ne me respectait déjà plus, j’étais déjà sa chose, sa salope...
    
    Mon ventre se liquéfia, mon souffle s’accélérerait.
    
    Non. Oui heu. Non vous vous rendez compte !
    
    Et ce salaud de dire :
    
    — Tu hésites, cela veut dire que tu en as envie. Je suis sûr que tu es une salope comme toutes les bourgeoises... me dit-il en posant sa main calleuse sur la cuisse, un frisson de honte.
    
    J’étais déjà à lui, il le savait.
    
    — Allez salope, on y va ! Je ne disais rien, incapable de toute réaction frissonnante, la raison me disait « non, n’y va pas, tu vas te perdre « le démon qui me possédait l’exigeait...
    
    Je me levais comme une automate...
    
    — Salope, on va prendre ta voiture « les gars, pour une fois que l’on va rentrer en voiture ». Donne-moi tes clés. Richard, va conduire, moi, je monte derrière avec ma salope. Tu es à moi, ...
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