1. BIENS ALLUMES


    Datte: 18/10/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... nos chevilles et quand on relevait les pieds c'était en premier pour les repousser plus loin, nous étions nus. Ça devait faire longtemps que je n'avais pas senti cette pression dans ma cage, je l'avait presque oubliée celle-là. Depuis maintenant plusieurs années c'était devenue une partie de moi, plus qu'une partie de mes vêtements, une partie de moi. Elle ne m'avait pas quittée depuis si longtemps que je ne me souvenais plus vraiment. Mais la pressions que je ressentais m'indiquait que tout marchait bien, que tout marchait toujours parfaitement.
    
    Je l'entraînait dans ma chambre par le main, dans son autre main il tenait sa clé. Je le repoussais sans ménagement sur mon lit, il tombait de tout son poids mais sans se faire mal, il rigolait. Il me tendait alors sa clé et se mettait à l'aise, je lui écartais les jambes et m’accroupissais juste entre ses genoux. Avec douceur j'ouvrais le dispositif, je retirais la cage et dégageais l'anneau.
    
    Comme je m'en doutais c'était pas un géant, il avait une toute petite bite, toute molle. Mais je le trouvais toujours aussi craquant, je lui caressais le corps avec toute la douceur que je connais, je passais mes mains sur ses cuisses, sur l'intérieur de ses cuisses. Je passais les pouces à la base de son sexe, là aussi il n'y avait pas de poil. A part les cheveux avec Did on ne peut pas dire '' A poil '' !
    
    Sa queue restait toujours toute molle, mais je sentais déjà sa respiration s'accélérer. Je me penchais alors vers lui et ...
    ... prenais sa queue dans ma bouche. C'est là que je l'ai senti grossir et durcir. C'était pas un géant mais, finalement il n'était pas ridicule non plus. Elle rentrait en entier dans ma bouche mais il faut dire que j'avais été entraîné. Je l'entendais gémir, il me caressait les cheveux et me laissait faire. Je le sentais se tortiller sous mes caresses, quelques petits éclats de rire, au moment ou je devais le chatouiller puis de nouveau des gémissements de plaisir. Sa queue se relevait fièrement, fermement et avait retrouvé toute sa fermeté, encore plus ferme que ses muscles.
    
    Je relevais la tête mais continuais à l'embrasser, à le caresser du bout du nez, du bout de la langue. Je remontais, j'arrivais à son nombril, mes mains lui caressais le torse, je pinçais doucement ses tétons. J'arrivais à ses tétons, je les mordillais doucement et là je le sentais trembler, je le sentais retenir le réflexe qu'il avait de me repousser quand un frisson trop fort le prenait.
    
    J'arrivais enfin à ses lèvres, nous nous embrassions de nouveau mais avec passion maintenant. Avec le temps, ma cage je ne la sentais plus mais à ce moment, je la sentais. Ma queue protestait comme elle le faisait, comme elle l'avait fait il y a bien longtemps, à l'époque ou … C'était déjà si loin tout ça …
    
    Did me retournait sur le dos, je me laissais faire. A son tour il me caressait tout le corps, il posait des genoux de chaque côté de mes hanches. Je le regardais, il était toujours aussi beau, encore plus même. Sa ...
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