1. Aisse Aime


    Datte: 18/10/2019, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, sm, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... file autour de son bras droit, longe le haut de sa poitrine pour aller faire le même schéma à gauche et redescend se nouer sur son nombril. Elle a donc sur son thorax un triangle qui pointe sur son ventre. La corde descend encore plus bas et se cale, insidieuse, posément entre les lèvres de sa chatte et remonte dans le sillon fessier. Éric glisse le cordon dans la boucle du ventre et repart en sens inverse. Elle a maintenant deux cordes entre les fesses et encastrées dans son sexe.
    
    — Tu te prends pour un cuisinier pour me ficeler comme un gigot ?
    — Ah ça, pour être cuisinée, tu vas l’être !
    — Faut pas demander !
    
    Il ficelle son thorax, dessinant des huit autour de ses seins, croisant à chaque fois la corde entre les globes de plus en plus cernés.
    
    — Dernier ficelage, fait-il.
    
    Il glisse la corde sous celles déjà mises en place entre le sein droit et le bras, il en fait de même à gauche, pour repartir faire un second tour dessinant une ceinture autour des seins et serre. Les sphères lactées ainsi sollicitées dardent en force vers le plafond comme deux biberons prêts à jaillir en geysers blancs.
    
    Marjorie pousse un petit cri de douleur puis de plaisir : les cordes de l’entrejambe et celles des seins la stimulent. Sadiquement, Éric ligote séparément les sommets des deux seins.
    
    — Waow, fait-il, tes mamelles sont bien conditionnées : un ligotage à la base et un au milieu.
    — Tu n’y as pas été de main morte !
    — Encore heureux que tu fais du D en soutifs !
    — Ah ...
    ... !
    
    C’est un soupir presque d’aise entre douleur et plaisir.
    
    — Tu sais que tes nichons pointent vers le plafond comme des tours?
    — Ça t’excite, hein ?
    — Il ne reste plus qu’un point de détail et ce sera bon…
    — Bon pour quoi ?
    
    Elle pousse un petit cri rauque quand une pince à linge s’agrippe à son téton sensible. Elle se mord les lèvres quand une deuxième pince mord son autre téton.
    
    — Salaud, gémit-elle.
    
    Il se couche sur elle, lui dévorant les lèvres, sa poitrine velue sur des seins en colonne, les écrasant de plus belle, et les pinces font leur travail de force. Des étoiles dansent devant ses paupières closes, elle a mal, sa poitrine est en feu, ses seins martyrisés prêts à exploser, un désir trouble s’installe en elle, elle crie. Elle les imagine crevant comme deux biberons surchauffés, les jets de lait s’écrasant au plafond. Elle croit avoir atteint le fond, elle s’enfonce dans ses gémissements :
    
    — Arrête, c’est trop… C’est trop !
    — Pas encore…
    
    Elle se sent forcée, déchirée : Éric, malgré les cordes qui lui scient l’entrejambe, est en train de contraindre sa vulve et en quelques coups de reins bien placés, il y parvient. Il se cale tout au fond, se plaquant encore plus sur elle, ses mains dans son dos. Elle croit alors défaillir, un premier tourbillon de souffrance mélangé de jouissance la submerge, elle crie son trouble, son plaisir. Elle ne comprend plus rien, un gouffre s’empare d’elle, elle y tombe, encore et encore. Elle veut que ça s’arrête, elle ...
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