1. Repas chez un couple de vieux amis...


    Datte: 18/10/2019, Catégories: hh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, hagé, fagée, couplus, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, hdanus, hsodo, couple+h, Auteur: Alpin en string, Source: Revebebe

    Une fois de plus mon portable sonne alors que je suis en plein boulot, entièrement concentré sur ma tâche. Je commence à maugréer intérieurement jusqu’à ce que je découvre le nom de l’appelant : un vieil ami dont je n’avais pas de nouvelles depuis deux mois. Enfin vieil ami, tout est relatif puisque nous ne nous connaissons que depuis un an à peine. Mais il est de ces personnes avec qui on s’entend si bien qu’on a l’impression de les connaître depuis toujours. De ces personnes que j’ai toujours beaucoup de plaisir à revoir tellement je me sens à l’aise en leur compagnie, détendu, bref heureux. Et puis, du haut de ses soixante-cinq ans passés, je crois qu’il ne m’en voudra pas trop si je le considère, avec une pointe de taquinerie et de tendresse, comme un « vieil » ami.
    
    Je décroche donc et une conversation sympathique s’engage immédiatement entre nous deux. Au bout d’un moment, il me dit :
    
    — C’est trop bête, nous avons tellement de choses à nous dire. Écoute, pourquoi ne viendrais-tu pas manger chez nous à midi ? Oh, sans chichi, quelque chose de simple. Ma femme va préparer une grosse salade composée et une salade de fruit. Avec la chaleur qu’il fait, cela sera agréable.
    — D’accord, avec plaisir. Vous aimez le vin rouge ? J’amènerai une bouteille.
    — Ne te donne pas cette peine, ça me gêne.
    — Quand même, c’est un minimum.
    
    C’est tout lui ça : non seulement il m’invite, m’offre quelque chose ou me rend service, mais encore il est gêné si on lui retourne – un petit ...
    ... peu – la pareille. Mais l’affaire est conclue bien vite et nous raccrochons. Je me replonge alors dans mon travail, étonnement détendu.
    
    À midi moins le quart, je pars pour me rendre dans le petit magasin bio que je sais qu’ils fréquentent, afin d’y dénicher une bouteille de vin. Je reprends ensuite la voiture pour aller chez eux, à cinq minutes de route à peine. Je me gare près de leur villa et m’apprête à sonner. Mon doigt n’a pas le temps d’appuyer sur le bouton de la sonnette que la porte s’ouvre déjà sur mon ami, le visage rayonnant d’un grand sourire. Il est habillé simplement d’un polo, d’un bermuda et de sandales, tenue classique s’il en est pour un homme de son âge à cette période de l’année.
    
    — Entre, entre vite. Cela me fait plaisir de te voir.
    
    J’avoue que sa dernière phrase me surprend, tant il m’a habitué à agir tout en retenue. Je n’en suis que plus heureux et lui emboîte le pas en pénétrant chez eux.
    
    — Tu te souviens de mon épouse ?
    
    Sa femme s’avance vers moi, m’accueillant en souriant. Je ne l’avais vue qu’une seule fois auparavant. De cinq ans sa cadette, je la trouve encore très belle et plus encore à ce moment-là. Elle m’apparaît tel un ange, en contre-jour d’une porte-fenêtre donnant sur leur jardin, en longue robe empire légère à broderie anglaise blanche, agrafée sur le devant. Elle doit cependant porter un jupon ou autre chose dessous, car elle ne paraît pas si transparente. Nous nous faisons la bise et prenons des nouvelles l’un de l’autre. ...
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