1. Vacances avec ma sœur (16)


    Datte: 18/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: pasdenom, Source: Xstory

    ... milieu de la nuit de mi-février, quelques jours après la Saint-Valentin. Un peu plus tôt dans la soirée, en sortant de la douche que nous venions de prendre ensemble, ma chérie me dit "Je sens que c’est pour bientôt !" Mais nous avions déjà eu trois fausses alertes auparavant. Donc je tentais de ne pas me réjouir trop vite à l’idée de prendre bientôt dans mes bras le fruit de notre amour. Toutefois, alors que nous dormions nus l’un contre l’autre, ma dulcinée me réveilla en sursaut.
    
    — CHÉRI, je viens de perdre les eaux.
    
    Effectivement, le lit était maintenant trempé. En regardant le réveil, il indiquait 3h36 du matin. J’enfilai d’abord rapidement quelques vêtements sur le corps de mon amour, puis je me vêtis d’un simple pantalon et d’un pull, sans rien en dessous pour gagner du temps.
    
    À 3h43, nous étions prêts. Nous montâmes ensuite dans la voiture quelques instants plus tard et je pris la direction de l’hôpital. De nuit, la circulation était quasiment nulle, à peine trois ou quatre voitures croisées. Il ne me fallu donc pas longtemps pour arriver à destination.
    
    Une fois à l’hôpital, impossible pour moi de réagir comme un frère. Comme de nombreux pères attendant leur premier enfant, j’étais stressé en arrivant à l’accueil. Le personnel était beaucoup plus détendu que moi. Ils savaient qu’il restait encore plusieurs heures avant que notre progéniture vienne au monde. Si ma chérie n’avait pas eu la sagesse d’esprit de me présenter comme son frère chez qui elle ...
    ... venait passer quelques semaines de vacances, je l’aurais annoncée comme étant ma femme. Notre relation aurait été découverte en même temps que le résultat de notre union.
    
    N’ayant officiellement plus de nouvelles du père de l’enfant depuis plusieurs mois, c’est de moi qu’elle voulu être accompagnée jusqu’à l’accouchement. Le personnel ayant l’habitude de voir des mères célibataires se faire accompagner par un parent, ils ne furent pas surpris. Mais en réalité, ma chérie était bien accompagnée du père de son bébé.
    
    Durant plusieurs heures, nous fûmes installés dans une salle, mon amour allongée confortablement sur un lit. Et nous attendions simplement la suite des événements. De temps en temps, une sage-femme venait vérifier si tout se passait bien. Quant à moi, comme au cours de toute la grossesse, je fus aux petits soins pour ma tendre, répondant à chacune de ses exigences.
    
    Au moment de la venue au monde de notre enfant, je dus me forcer à réfléchir à mes mots d’encouragement. Je ne pouvais pas lui dire "Vas-y ma chérie" devant tout le personnel. Je remplaçai donc "ma chérie" par "sœurette", mais en disant cela, j’avais l’impression de m’adresser à une autre personne. C’est pour cette raison que j’employais ce terme le moins possible, préférant des "Tu vas y arriver".
    
    À 12h53, notre fils poussa son premier cri. Et j’eus le plaisir de couper le cordon. À part embrasser la mère de mon enfant devant tout le monde, je pus faire tout ce que peuvent faire les maris qui ...