Une amitié qui m'a réservé une surprise !
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
extracon,
confession,
occasion,
Auteur: Retraiteactive, Source: Revebebe
... moments de solitude qui ne durent pas trop longtemps mais durant lesquels je vis à un autre rythme. Je venais de déjeuner, m’apprêtant à faire cette courte sieste réparatrice où je laisse bien souvent mon esprit divaguer avant de faire un somme d’une dizaine de minutes, quand j’entendis sonner. Généralement, je ne réponds pas à cette heure : ma sieste est sacrée. Pourquoi alors ai-je, cette fois, décidé d’aller voir ? C’était Béa qui venait apporter quelques documents concernant une association.
Nous nous embrassons, je la fais asseoir, échangeons des nouvelles sur nos enfants, nous parlons de choses et d’autres. Mais je ne veux pas la retarder puisqu’elle a une activité professionnelle. Je la reconduis donc jusqu’à l’entrée.
Au moment de nous saluer et comme nous en avions l’habitude, nous nous fîmes à nouveau la bise. Nos visages étaient-ils trop proches ? Je ne sais, mais nos lèvres s’effleurèrent à peine. Ce fut très soudain, comme un courant électrique. Nous nous sentîmes gênés, alors que nous étions dans une relation amicale confiante, et si ancienne. Une confusion qui nous envahit l’un et l’autre, un appel réciproque dans le regard. Nous nous sommes rapprochés, nos lèvres se trouvèrent, s’écartèrent pour un vrai baiser. Nos mains vinrent se poser tout naturellement sur nos nuques, voulant l’un et l’autre éviter que nous échappions à ce désir si soudain. Je m’appuyai sur le mur de l’entrée, l’entraînant vers moi.
Tous nos scrupules, toute retenue, tombent ...
... alors devant ce qui était impensable à l’un et à l’autre. Nous sommes dans une pulsion mutuelle qui nous fait oublier que nous tenons l’un et l’autre à nos conjoints respectifs.
Mes mains glissent sous son tee-shirt, remontent sur dos. Mes doigts cherchent l’attache du soutien-gorge, qu’ils trouvent, puis défont maladroitement. J’ai si souvent rêvé à ses seins ! Sa bouche s’écrase sur la mienne, sa langue s’empare de ma langue. Elle se dégage rapidement pour enlever son tee-shirt. Le soutien-gorge glisse, mais encore retenu par les bretelles. Je le fais alors tomber. Ses seins sont petits mais beaux, un peu tombant, comme chez les femmes de cet âge : les aréoles bien marquées, d’un rose tirant légèrement sur le brun, les tétons petits mais saillants.
Je l’entraîne vers le salon proche, ayant le soin au passage de tirer le rideau d’une fenêtre par laquelle nous aurions pu être vus. Nous nous asseyons sur le canapé, nos bouches rivées, nos langues agitées. Mes mains se posent sur ses seins, sentant au creux des paumes les tétons érigés. Elle cherche les boutons de ma chemise, les défaisant un à un, avec une certaine hâte. Elle me force à m’allonger sur le bord du canapé, se mettant à genou sur le tapis. Ma chemise ouverte, sa bouche parcourt ma poitrine. Puis elle descend, déboucle ma ceinture, ouvre la fermeture à glissière.
Il y avait longtemps que je n’avais eu une telle érection, mon sexe était horriblement comprimé dans mon slip : c’en était presque douloureux.
Sa ...