1. Une Patronne sévère et douce


    Datte: 17/10/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, BDSM / Fétichisme pied, chaussures, Oral nopéné, sm, nostalgie, Auteur: AuxpiedsdeMaîtresse, Source: Revebebe

    ... avec leur personnel, et c’est ce qui pour moi leur donne un charme irrésistible…
    
    J’ai eu l’occasion de « souffrir » entre les mains de l’une d’entre elles, et c’est un souvenir inoubliable. Ce souvenir en rejoint bien d’autres, depuis qu’à sept ou huit ans, je crois, cette maîtresse, jeune, belle, autoritaire, habillée avec l’élégance de la fin de ces années 50, avait cru me punir en me mettant sous son bureau, tout près de ses jambes, de ses bas que je savais tenus par des porte-jarretelles – rien que le mot me fait bander aujourd’hui encore ! Je me souviens avoir respiré son odeur de femme soignée, à quelques centimètres de ses jambes, malheureusement pudiquement serrées et placées de biais pour me laisser quand même un peu de place. J’étais petit, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, mais elle faisait de moi (sans le savoir) un homme qui allait à jamais être fasciné par les enseignantes sévères, comme d’ailleurs par toutes les autres femmes, par leur corps, leurs vêtements (et surtout leurs petites culottes…), par leur démarche, leur voix, leurs sourires, leur gentillesse maternelle ou leur vacherie, par leur finesse, leur intelligence, leur humanisme… Combien donnerais-je aujourd’hui pour revenir sous ce bureau, sachant ce que je sais, pour ne serait-ce que respirer à nouveau son odeur… Hélas !
    
    Mais revenons à notre Patronne, car je m’égare encore. Cette femme, Odile, tenait une sorte de grand dépôt-vente près du centre-ville d’Angers. Elle avait fait passer ...
    ... une annonce afin de trouver un collaborateur à temps partiel, pour s’occuper de la partie de son commerce concernant les objets de brocante et les livres anciens, dont beaucoup n’étaient en fait que des bouquins sans valeur. Cette annonce tombait bien : je venais tout juste d’être mis en préretraite, ma femme venait de me quitter pour un homme plus jeune, plus beau et surtout plus argenté que moi – bon débarras ! – et je ne savais trop quoi faire de ce temps libre, inattendu et pas vraiment désiré…
    
    Ayant téléphoné au numéro indiqué dans l’annonce, je l’avais eue au bout du fil, après une employée peu aimable. Elle m’avait expliqué ce qu’elle cherchait, en fait un employé qui allait filer doux plutôt qu’un véritable collaborateur… Elle m’avait d’ailleurs expliqué qu’elle m’embaucherait dans le cadre de l’un de ces nouveaux contrats pourris, où vous êtes sorti de l’entreprise aussi vite que vous y êtes entré. Elle pensait d’ailleurs m’embaucher surtout parce que j’étais un homme, et qu’elle en avait assez des récriminations et des histoires suscitées par les cinq jeunes femmes qui travaillaient déjà pour elles. J’avais manifesté avec les jeunes contre ces maudits contrats, mais j’étais bien obligé d’y passer… D’ailleurs la voix de ma future Patronne, qui s’était faite de plus en plus autoritaire au cours de l’entretien, au fur et à mesure qu’elle percevait ma passivité ou ma docilité, avait éveillé, je le pressentais, ce fichu désir de soumission aux femmes qui sommeillait en ...
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