1. Vient le temps des retrouvailles


    Datte: 15/10/2019, Catégories: fh, cocus, Inceste / Tabou anniversai, hsoumis, fdomine, vengeance, odeurs, pied, Oral légumes, pénétratio, hdanus, hgode, uro, init, extraconj, fsodoh, Auteur: Petite futée, Source: Revebebe

    ... que ma main finit par toucher sa poitrine, premier émoi !
    
    — Je vais te déposer dans un endroit à l’abri, et tout de suite après je vais avertir Roland.
    — Oui, c’est très gentil de ta part.
    
    Son Roland l’a délaissée pour d’autres occupations ! Au bout de quelques dizaines de mètres, je commence à faiblir physiquement et je ne sens plus les muscles de mon bras.
    
    — Désolé, Cécile, je n’en peux plus. Je pense que je vais te charger sur mon dos, si tu veux bien.
    
    Je m’accroupis un peu et je sens sa poitrine lourde et ferme s’écraser sur mon dos. Enfin, arrivés devant la porte de la remise, je fais descendre ma cavalière sur le sol, je sors la clé de ma poche, j’ouvre la porte, j’allume et j’aide Cécile à entrer. Je la soutiens pour l’asseoir sur une chaise. Pour me permettre de reprendre un peu mon souffle, je m’intéresse sommairement à sa cheville. Je m’agenouille à ses pieds.
    
    — Je me permets de te déchausser ?
    — Oui, bien sûr. Fais tout ce que tu veux, pour me soulager de cette douleur atroce !
    
    Je soulève son pied douloureux et retire sa bottine droite, qui se défait facilement. Son petit pied glisse avec un petit bruit agréable à entendre. Mon adrénaline à cet instant monte en injectant une grosse quantité de sang à mon sexe qui se raidit. Elle porte des collants noirs à résille et je peux voir que ses ongles sont vernis en rouge, assortis au pantalon qu’elle porte. Les résilles mettent en valeur les courbes et les sillons de son petit pied. Je masse doucement ...
    ... la cheville touchée, du talon jusqu’au bas du mollet. Elle s’étire en arrière et je l’entends me dire :
    
    — Que cela me fait du bien !
    
    Je retire alors sa deuxième bottine. Pourquoi, je ne sais pas, et je caresse ses deux pieds maintenant. Elle s’abandonne totalement à son plaisir, soupire d’aise, indifférente au fait que la porte est restée ouverte depuis notre arrivée. Je suis de plus en plus excité, à la fois sidéré et émerveillé par ce spectacle dont je pense être le jouet. Je me sens complètement pris de court. Elle me déstabilise. J’essaie de me comporter normalement, mais je suis fasciné par le jeu qu’elle est en train de jouer avec moi. C’est contre mon gré que je libère ses petons. Elle remue alors ses doigts de pieds, en soupirant avec sensualité.
    
    — Je me sens de mieux en mieux. Alain, tu es un vrai magicien. Dis, tu trouves mes pieds jolis ? Car Roland ne les trouve pas extra !
    
    Je suis tellement embarrassé que j’en reste muet.
    
    — J’en étais sûre ! ajoute Cécile en souriant, puis elle enchaîne : alors dis-moi la vérité, est-ce que tu trouves que mes pieds sont jolis ?
    — Oui. Et je vais même te dire que je les embrasserais bien !
    
    Pas surprise de ma réponse, elle lève alors ses pieds vers mon visage et me présente ses orteils pour que je les embrasse. Je m’en saisis dans les mains, porte ses orteils pointés jusqu’à mes lèvres, et les embrasse délicatement l’un après l’autre. Du talon aux orteils, je me mets à caresser, frôler, masser et chatouiller ses ...
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