Tempête de neige
Datte: 15/10/2019,
Catégories:
fh,
cocus,
Collègues / Travail
Oral
préservati,
confession,
occasion,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... comme j’ai eu peur de faire des taches sur la robe rose pivoine que je portais, j’ai avalé sa semence.
— Oh ! Et alors ?
— Je l’avais jamais fait, et…
— Et…
— Vous avez peut-être raison avec votre théorie, car depuis j’accepte que mon mari jouisse dans ma gorge.
— Vous voyez ! Et après ?
— Après, j’ai récupéré mon mari.
— Vous lui en avez parlé ?
— Non, bien sûr que non, mais comme il m’a embrassée, je crois qu’il a remarqué le goût qui restait sur mes lèvres. Il m’a juste questionnée si on avait perdu quelque chose sous la table pour qu’on cherche le mec et moi. J’ai inventé l’histoire d’une boucle d’oreille tombée et retrouvée. Par contre, dans notre chambre, il m’a demandé que je le suce. Il n’en a jamais parlé, mais je pense qu’il savait.
— Vous en avez gardé un bon souvenir ?
— Je dois reconnaître que oui. Souvent j’y repense. Ce n’est pas si vieux, cela date de l’été dernier.
— Eh bien, je sais ce qu’il me reste à faire, dis-je en me levant, sourire aux lèvres.
— Vous allez où ?
— Chercher de ce pas de quoi vous enivrer afin que nous…
— Pascal ! Allons, je vous en prie.
J’adore son regard. La belle sait se faire ingénue, mais peut-être qu’elle cache bien son jeu. La façon dont elle a raconté son aventure est un modèle de simplicité. Mais que c’est bandant ! Je m’installe à côté d’elle.
— Vous avez raison. Voyons où en est notre héroïne, dis-je tout enjoué.
Elle remet la vidéo. Rapidement la température monte dans la pièce. Notre formatrice a des ...
... talents cachés et deux belles queues bien noires ne lui font pas peur.
À côté, Anaïs ne cesse de remuer, croisant et décroisant ses jambes. Moi je ne suis pas mieux. Je transpire. J’avale ma salive le plus discrètement possible. Je bande, bien sûr. J’entends distinctement ma voisine respirer de plus en plus vite et soupirer lorsque le deuxième homme vient empaler la femme pour la prendre en sandwich.
Sans réfléchir, ma main se pose sur la cuisse de ma voisine. Rapidement la sienne vient me rejoindre. Une seconde je pense que c’est pour me faire partir, mais non. Elle m’étreint comme si elle voulait partager ses émotions. Je me tourne vers elle. Elle aussi me regarde. Je me penche. Nos visages se rapprochent. Nos dents se heurtent sous la pression de notre envie. Nos langues bataillent délicieusement. Chacune explore la bouche de l’autre.
D’habitude je suis plus patient, plus progressif lorsque je suis avec une femme pour la première fois. Mais là, j’ai l’impression que mon corps ne me répond plus. Au risque de paraître goujat, déjà une main caresse sa poitrine pendant que l’autre se glisse sous la robe pour aller se plaquer entre les cuisses. Ce n’est pas mon imagination, mais Anaïs gémit et tout son corps avance pour mieux sentir mes mains qui l’explorent.
Sans cesser de l’embrasser, je l’attire pour la faire se lever. Face à face, corps contre corps elle ne peut que ressentir contre son ventre la force de mon érection.
Une compétition ! Oui, on pourrait croire ...