Mes aventures au travail (1)
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Pilat, Source: Xstory
... s’était passé, nous avons laissé cet instant en suspens.
Pourtant elle était ravissante à son retour, elle était bronzée naturellement, ce qui lui donne un côté Sicilienne très excitant.
Mais je ne me permis pas de le lui dire.
Le reste de l’année a suivi, nous échangions regards, sourires en coin, discussions et rires.
Parfois quelques compliments.
Je pensais de plus en plus à elle, je faisais souvent des rêves érotiques où elle était la principale protagoniste.
Quant à elle, je voyais qu’elle faisait plus attention à sa mise, à l’automne alors qu’il faisait encore beau, elle est venue plusieurs fois dans mon bureau en se penchant pour me montrer des documents, tout en m’effleurant la main, le bras...
Ces moments restaient électriques, on le sentait tous les deux.
Puis Noël est arrivé.
Nous avons eu droit au traditionnel repas d’entreprise sur le même principe que celui de l’été sauf que l’on était dans les locaux, et que nous devions nous apprêter dans une ambiance plus cocktail, les femmes en robe de soirée, les hommes en costumes.
Tout le monde est rentré se préparer pour revenir à 19h aux bureaux. Les conjoints ne sont pas invités à cette soirée.
Faiblement, je me dis que cela sera peut-être l’occasion de revivre un petit instant ce que nous avons vécu cet été.
Je m’apprête, je présente vraiment bien, je me trouve très élégant.
Il me tarde de la voir, je ne pense qu’à ça...
Elle passe la porte, mon cœur s’arrête...
Elle porte ...
... une toute simple robe noire de cocktail, mais qui lui donne une élégance folle.
La jupe, juste au-dessus de ses genoux, permet de voir ses magnifiques jambes galbées par des bas ou des collants et des talons parfaits de hauteur.
Tous les mecs bavent sur la juriste de 28 ans modèle Ikea, je ne vois qu’Anne. Elle me regarde, je vois qu’elle est impressionnée par ma tenue également.
Elle vient vers moi, je lui fais un compliment en lui disant que sa simplicité n’a d’égal que son élégance, elle rougit. Elle me répond que je dégage un important charisme en costume, je rougis.
Je lui propose un verre, elle accepte, prend mon bras et nous nous dirigeons vers le bar. Mes sens sont brouillés, j’ai du mal à réfléchir.
Nous nous servons deux verres de cocktail du soir, dont je serai bien incapable de vous dire à quoi il était.
Nous parlons et nous rions en nous regardant dans les yeux... Notre complicité est évidente.
La chaleur d’être avec elle m’envahit d’une puissance rarement ressentie auparavant.
Malheureusement, nous sommes contraints de nous séparer pour échanger avec d’autres collègues mais nous avons du mal à nous lâcher des yeux.
Le discours du patron passé, nous passons au repas de fête.
J’essaie de ne pas trop revenir vers elle pour ne pas l’étouffer et que cela ne soit pas trop perçu par les collègues.
La soirée se passe, nous dansons, parfois à côté, sans pouvoir nous parler.
Je choisis d’aller fumer, Anne me rejoint.
Elle me fait une ...