1. Retrouvailles


    Datte: 14/10/2019, Catégories: fh, fhh, couple, cadeau, grossexe, sexshop, amour, Oral fdanus, jouet, conte, policier, québec, Auteur: Celestia124, Source: Revebebe

    ... qui défilait autour de nous. Je me sentis rassurée lorsque la porte du stationnement souterrain se referma derrière nous. Une fois son emplacement atteint, Patrick sortit de la voiture et vint m’ouvrir la portière et je pivotai pour descendre du véhicule. Patrick prit mon visage entre ses mains et m’embrassa avec douceur. Je lui rendis son baiser et gémis lorsque je sentis ses mains caresser ma poitrine. De mon côté, je caressai l’énorme bosse qui déformait son pantalon. Je descendis la fermeture Éclair et je sortis son sexe alors qu’il relevait ma jupe pour ensuite me pénétrer rapidement. Ses coups de reins se faisaient plus fort, plus puissants que dans son bureau. Je mordis le col de sa chemise pour étouffer mes gémissements. Sa main passa entre nous et titilla mon clitoris.
    
    C’en fut trop et je jouis en tremblant et en frissonnant. Il se retira ; je me mis à genoux et le pris dans ma bouche. Je le suçai fort, faisant tournoyer ma langue autour de son gland. Je me goûtais sur lui ainsi que son goût qui m’avait tellement manqué durant toutes ces années. Il éjacula dans ma bouche une quantité impressionnante de foutre que j’arrivai néanmoins à avaler. Il me remit debout et nous réajustâmes nos tenues respectives. On entendit un raclement de gorge. Le gardien de l’immeuble s’approcha de nous. Son souffle était un peu court, ses joues, un peu trop roses et la fermeture Éclair de son pantalon n’était pas complètement remontée. Patrick, comme moi, remarquâmes ces détails et ...
    ... nous nous lançâmes un regard complice.
    
    — Bonsoir Patrick ! dit le gardien. Vous avez de la compagnie ce soir à ce que je vois ?
    — Oui, j’ai de la compagnie et je vous serais reconnaissant de ne pas jouer les voyeurs et de retourner à votre poste, s’il vous plaît.
    
    Le gardien n’ajouta rien et fit volte-face pour retourner à son bureau. Une fois seuls, nous éclatâmes d’un rire libérateur. J’y évacuai tout le stress de la scène qui s’était déroulée à la sortie de mon « entrevue » et je me sentis me détendre complètement. Nous montâmes dans un ascenseur dans lequel nous grimpâmes six étages. Les portes s’ouvrirent non pas sur un couloir comme je m’y attendais, mais sur un loft. Il était composé de deux paliers. Le premier, celui sur lequel nous nous trouvions, était très grand. Il y avait une cuisine, un salon avec des tringles à rideaux au plafond comme dans les hôpitaux pour pouvoir séparer les pièces, ainsi qu’une cheminée au gaz. La salle de bain était fonctionnelle et de taille moyenne avec une très grande douche et une baignoire en œuf. Au-dessus de la salle de bain, se trouvait le second palier. Un escalier en bois tournoyant y menait et en haut, on pouvait trouver un grand lit, un écran plat et une console de jeu, un petit divan deux places et un bureau de travail.
    
    — Tu as faim ? me demanda Patrick.
    — Oui, répondis-je en souriant.
    — Tu aimerais quoi ?
    — Je connais un bon restaurant chinois, si tu veux. On pourrait faire livrer ?
    — Oui pourquoi pas. Je te laisse ...
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