1. Premiers agréments d'une amitié


    Datte: 14/10/2019, Catégories: fhhh, jeunes, intermast, Oral pénétratio, double, fsodo, confession, Auteur: Popple, Source: Revebebe

    ... vraiment pris son pied cette nuit-là. Pour ma part, comme pour tous, probablement, c’était ma première partouze. J’étais à l’aise, mais sans plus. Je n’ai donc pas donné le meilleur de moi-même. Pour ce qui s’est passé à partir de l’arrivée de Jean-Baptiste, je ne pourrais d’ailleurs reconstituer clairement le fil. L’émotion, sans doute !
    
    Je sais que je lui ai pris la chatte au moins deux fois. Je ne l’ai pas enculée. On n’avait pas de lubrifiant, d’ailleurs. Si je me souviens bien, Ben et Jean-Ba’ l’ont enculée chacun leur tour, doucement et avec pas mal de salive, et surtout parce que Julie nous a demandé une double-pénétration ! Je crois que c’est Stéphane qui était dans sa chatte et Ben qui l’a enculée. Le plus surprenant, c’est que Julie n’ait pas eu peur de se faire prendre l’anus par la plus grosse bite présente ce soir-là. Les autres ont dû jouir au moins deux fois chacun, sinon trois. C’est d’ailleurs un détail qui a posé problème par la suite.
    
    En effet, nous étions très excités, tous autant que nous étions, et Julie la première. Et un peu embrumés par l’alcool. Et nous n’avons pas utilisé de capotes ! Effondrés de fatigue au bout de ces quelques heures de baise, nous nous sommes endormis sur place, qui dans le lit, qui sur le canapé enveloppé d’une couverture. Et lorsque Julie s’est réveillée le lendemain, entourée de quatre hommes à demi-nus, elle a commencé à réaliser ce qu’elle avait fait. Elle s’est rendu compte qu’elle avait reçu au moins quatre ou ...
    ... cinq doses de sperme au fond de la chatte et une dans le cul. Elle en a avalé une, il me semble, et sans réel plaisir, je crois. Le reste avait giclé un peu partout autour de nous. Elle nous reprocha l’absence des capotes. Elle n’avait pas vraiment tort, d’ailleurs : étant la seule femme devant le désir de quatre queues qui ne demandaient que ça, elle avait déjà beaucoup à accepter. Il nous appartenait, collectivement, de la protéger.
    
    Nous avons pris un petit déjeuner à trois, Julie, Ben et moi, après le départ de Stéphane et de Jean-Baptiste. Sur le coup, Ben et moi n’avions pas grand chose à nous dire. Nous devions mûrir un peu cette expérience. Pendant que Ben prenait sa douche, j’ai discuté avec Julie. De nature assez franche, je n’ai pas hésité à aller droit au but et à l’interroger sur la nuit passée avec, bien entendu, des mots choisis pour ne pas la brusquer. Elle admit qu’elle s’est surprise elle-même, que c’était une première et qu’elle n’avait jamais pensé qu’elle oserait se faire baiser par un groupe de mecs.
    
    Ce n’était pas à proprement parler un fantasme, pour elle. Elle se contentait de fantasmer sur deux bites. Quatre, c’était « du délire ! », « improbable ! » mais vrai. Et, hormis la question du sperme qui la troublait maintenant, elle reconnaissait qu’elle n’avait jamais été aussi excitée et qu’elle ne s’était jamais abandonnée au plaisir comme cela, sans mesure. Elle commençait d’ailleurs à éprouver un certain vertige face à cette réalité, un vertige ...
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