1. Une gentille fille


    Datte: 17/01/2018, Catégories: fh, voisins, laid(e)s, Masturbation Oral pénétratio, Auteur: Jacques, Source: Revebebe

    ... amuse-gueule.
    
    — Alors comme ça, nous voilà voisins, mais vous étiez où avant ?
    — Oh pas loin (Elle me donna le nom d’une rue du centre ville), mais ici c’est plus grand et il y a un jardin. J’aime bien faire pousser des fleurs et aussi profiter du soleil pour lire. Du reste, il faudrait que je bronze un peu. Elle eut un petit sourire, j’ai la peau d’un livide…
    
    Elle avait souri, pas ri, mais il y avait du progrès. Il fallait que j’attaque.
    
    — C’est vrai vous n’avez pas beaucoup de couleurs, dis-je en souriant moi aussi.
    — En fait j’ai été malade presque toute l’année scolaire, de l’anémie, et puis comme je déprimais un peu, je ne sortais presque pas. Voyez comme je suis chouette, pâle, maigre, triste… vous avez récupéré une super voisine…
    
    Elle riait d’elle la pauvre.
    
    — Faut manger plus, je suis sûr que vous avez un appétit d’oiseau.
    — C’est vrai, je ne sais pas faire la cuisine, je n’en ai pas envie, alors je ne mange pas grand chose.
    
    Elle commençait à se dérider.
    
    — Vous savez combien je pèse ?
    — J’sais pas, pas beaucoup, 40 kg peut être (elle devait faire à peu près 1,65m).
    — Même pas, 38 kg !!
    — Vous allez retomber malade… Ça vous dirait de faire un bon repas ? Sans me vanter, je ne fais pas mal la cuisine. Depuis le temps que je vis seul, j’ai appris !
    — Oh je ne veux pas vous embêter, vous savez, je suis pas une marrante (tu parles), je suis une vieille chieuse…
    — Mais non, allez, je vous invite, je vous ferai un petit truc sympa, on ...
    ... écoutera de la musique ou on regardera un film, vous verrez, vous rigolerez.
    
    Et puis, elle a dit d’accord et on s’est donné rendez-vous pour le lendemain soir (pourquoi perdre du temps !!). Et on a bien mangé, un peu bu aussi, pas trop pourtant, je déteste prendre les gens en traître et faire saouler une femme pour la sauter. On a de la moralité… Elle avait mis une petite robe à fines bretelles, on aurait dit une gamine. J’avais remarqué qu’elle avait la peau moins pâle et ce n’est qu’à la fin du repas qu’elle me dit :
    
    — Tu sais, je me suis mise au soleil pour bronzer, ça se voit ?
    — Oui, c’est léger, mais c’est bien pour un début.
    — J’ai bronzé toute nue, ajouta t elle en me regardant dans les yeux.
    — Ah oui… on peut voir ?
    
    Elle se mit à rire :
    
    — Tu ne me crois pas ?
    — Si, mais j’aimerais bien te voir à poil dis-je en rigolant…
    — Cochon, tu tiens à voir un sac d’os ?
    — Non, sans blague j’aimerais.
    — Et après quand tu m’auras vu, que feras-tu ?
    — L’amour, si tu veux…
    — Toi au moins, tu n’y vas par quatre chemins… Elle riait à gorge déployée…
    — Au moins pour une fois, tu ris !
    — Oui et en plus, je vais te dire, moi aussi j’en ai envie…
    
    Et sans plus de cérémonie, la voilà qui se lève, qui fait passer sa robe par-dessus sa tête et qui enlève son petit slip. Pour une surprise…
    
    — Alors, tu gardes tes fringues, toi ?
    
    Pas besoin de me le dire deux fois, en deux temps trois mouvements, je suis nu comme un ver, un ver avec une belle queue bien dure et bien ...