1. De Dame patronnesse à libertine. (2)


    Datte: 14/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... de quelques instants c’est entre ses dents que Domi fait rouler mon clitoris... Je n’aurais jamais cru qu’il s’allongerait de cette façon...
    
    C’est bon, c’est doux et lancinant à la fois... et je ne me prive pas de dire à Domi combien j’aime ce qu’elle me fait.
    
    — Ne t’inquiète pas ! Amandine m’a tout dit... Je vais te faire ton éducation saphique.
    
    — Oui, j’ai envie de tout découvrir...
    
    — Nous n’aurons sûrement pas le temps de tout te faire découvrir. Il faudra que tu viennes me voir chez moi.
    
    — Oh oui, quand tu seras disponible !
    
    — D’accord... Maintenant allongeons-nous sur le lit, je vais découvrir les zones érogènes de ton corps. Laisse-toi aller ! Après tu chercheras les miennes... Ainsi, tu sauras où les chercher chez une autre femme... Nous sommes presque toutes semblables...
    
    Je fais ce que Domi m’indique... ses doigts fins et légers parcourent mon corps, passant du contour de mes lèvres à derrière mes oreilles, puis elles descendent le long de mon cou, effleurent ma nuque au travers de mes cheveux, reviennent sur ma poitrine qu’elles massent avant s’attarder sur les tétons qu’elles font saillir en pinçant ce bout sensible entre deux doigts...
    
    Hummm ! C’est bon ! Je sens le plaisir renaître dans mon sexe ! Oui Domi avait su s’arrêter avant le point de non-retour lorsqu’elle avait ébauché son cunni...
    
    La boule chaude envahit à nouveau mon bas-ventre et je ne peux empêcher l’ouverture du compas de mes cuisses...
    
    Ma main droite vole vers le bas ...
    ... et empaume mon pubis... que je trouve très humide.
    
    Je n’aurais jamais cru que l’ambiance érotique qui règne dans la chambre et les effleurements de Domi donnent ce résultat...
    
    Quand elle quitte ma poitrine, elle joue quelques instants avec la pointe de sa langue dans mon nombril puis elle gagne ma fourche intime dans laquelle elle reprend son cunni, de plus en plus appuyé :
    
    — Que tu sens bon... Je parie que c’est Amandine qui a taillé ta toison ?
    
    — Oui... à qui d’autre voudrais-tu que je confie ce travail ? J’ai toujours été trop prude pour qu’une esthéticienne me fasse même le maillot. De toute façon, cela fait deux ans que je ne me suis plus mise en maillot !
    
    — Pourquoi ?
    
    — Je n’avais plus personne à qui plaire ! Mon mari avait décidé de faire chambre à part et ma sexualité était plutôt en berne !
    
    — Que s’est-il passé pour qu’elle se réveille ainsi... Tu as le corps extrêmement sensible. Tes tétons bandent au moindre attouchement et je ne parle pas de ton bourgeon d’amour... qui suinte comme une source !
    
    — Oh, c’est une longue histoire...
    
    Peu de temps après, je connaissais pour la première fois une jouissance donnée par une autre femme.
    
    C’était doux et violent à la fois. La délivrance arrive dans un grand râle assourdi pas ma main plaquée sur ma bouche et un long soupir...
    
    — MERCI ! C’était très bon !
    
    — A toi de m’en faire autant. Je veux voir si tu as retenu ce que je viens de te faire ! Ensuite nous passerons à autre chose ! Je me mets ...