Un mail particulier suite à une semaine particulière (II)
Datte: 13/10/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Osoave, Source: Hds
Suite aux commentaires laissé par mes lectrices, qui m’ont fait plaisir et que je remercie, je vais donc répondre à Sarah : un retour élégant, poli, dans lequel je vais lui exposer ma surprise à la lecture de son mail, puis mon excitation grandissante et enfin ma plus totale dévotion.
J’ai suivi toutes ses instructions. Le soir, chez moi, me suis-je mis nu, ai-je joué avec ma queue, des élastiques, des pinces à linge, manquant d’exploser à plusieurs reprises, mais me retenant, juste parce que Sarah me l’avait ordonné.
Je ne connais rien de cette fille, mais j’ai décidé de me soumettre. Est-elle belle? Elle le dit. Mais peu importe. Ses demandes, ses attentions sont souveraines car ses fantasmes sont miens. Je suis à elle, j’obéirai à tout, toutes ses instructions, tous ses caprices et tous ses silences aussi.
J’attendrai désespérément le moindre de ses signes, scrutant ma boîte mail.
Pour moi, l’occasion est trop belle. Je serai son esclave.
Voici, chers lecteurs, chères lectrices, mon acte d’abdication :
« Sarah,
Je viens juste de lire ton message. Je te réponds immédiatement. Je suis chez moi, nu, puisque tu me l’as demandé. Inutile de te dire que je bande suite aux épreuves que tu m’as infligées. Elastiques, pinces à linges, j’imagine que ce n’est que le début. J’espère que ce n’est qu’un commencement. Au fil des lignes, j’ai pu me rendre compte que j’allais tomber dans tes liens, sans fuite possible.
Seras-tu vicieuse? Autoritaire? Tyrannique? ...
... Capricieuse? Omniprésente? Distante? Tes fantasmes sont miens, je suis à toi, jours et nuits. Je t’implore toutefois de ne jamais me demander de mettre en danger ma vie privée, professionnelle et de préserver mon anonymat.
Comment te prouver ma soumission? Je tenterai de te décrire le plus précisément possible mes sentiments, mes plaisirs et mes souffrances.
Mon sexe n’est plus mien. Tu en fais ce que tu veux. J’adore ton idée de contrôler mes orgasmes, ton idée de cage de chasteté imaginaire. Ce sera dur, je pense. Mais je tiendrai. Par obligation, par dévouement pour toi.
Je pressens que ma queue dégorgera moins. La conséquence sera que je banderai plus souvent, sans raison apparente, à n’importe quelle heure et qu’à ce moment (juste à ce moment ? non bien sûr…), je penserai à toi, à notre lien, à la laisse que tu as glissée autour de mes couilles, serrée.
Serre-là. Je suis ton chien, à quatre pattes.
Tu vas me faire mal. J’espère avoir mal, avoir envie de jouir à en pleurer. Etre à genoux et te regarder d’en bas, te supplier de me laisser éjaculer. J’aimerais avoir les mots que je n’ai jamais eus, pour aucune femme, que ma conscience s’égare et ne sois plus qu’une âme en peine, à ta merci.
Sois cruelle, je t’en prie, je t’en conjure.
Prends du plaisir à me torturer. Je te vois, sans vêtements, nue, belle, mouillée, prendre ton pied en jouant avec ma queue, mes couilles, mes tétons, et que sais-je encore?
Chacun de tes messages sera une surprise. Chacune ...