Le facteur est passé (2)
Datte: 13/10/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Khin, Source: Xstory
... tas de sex-toys, dont plusieurs de gros calibres, faisant facilement 30 centimètres de long pour 10 centimètres de largeur.
— Tu as trouvé !? cria Karine d’en bas.
Je partis donc en bas rejoindre ma collègue et tâchant bien de fermer correctement les tiroirs. C’est en arrivant dans le salon que je vis que Karine s’était mise à son aise. Elle avait en effet fait tomber son short pour être en culotte noire ainsi que son t-shirt pour être en soutien-gorge, assorti à la culotte.
— J’espère que ça ne te gêne pas, j’avais chaud.
— Non, pas du tout, tu es chez toi donc tu fais ce que tu veux.
— Oui, j’ai souvenir que tu m’as dit que je pouvais user de mon autorité. Je vais continuer, commence par me masser la cheville comme tu faisais il y a peu, dit-elle d’une voix ne laissant pas place au refus.
— Bien patronne...
Mes mains firent donc couler l’huile sur sa cheville puis commencèrent le massage que la belle quarantenaire désirait tant. Elle rejeta sa tête en arrière et ferma les yeux, me laissant seul aux commandes. Mes doigts commencèrent ainsi la séance par de lents cercles doux tout autour de sa cheville, s’aventurant parfois vers le haut de son pied. Mes yeux quant à eux étaient rivés sur sa poitrine, à la fois pulpeuse et petite, faisant certainement un 85 B. Ayant rouvert les yeux, Karine me fit :
— Hé bien alors petit mal élevé, on pose ses yeux où il ne faudrait pas ? Puisque c’est comme ça, occupe-toi de mes orteils, ils souffrent eux aussi... ...
... ordonna-t-elle.
— A vos ordres, patronne.
Mes mains passèrent alors sur ses orteils, eux aussi magnifiques et doux. Chacun d’entre eux était soigné par mes mains, les branlant lentement par mes doigts trempés d’huile.
— Hmm c’est si bon Antoine. Pour te récompenser, je te laisse voir ce que tu fixais tout à l’heure.
Elle fit alors tomber son soutien-gorge, me laissant voir à ma guise sa superbe poitrine affublée de belles auréoles bien larges et somptueuses. Je repris alors de plus belle mon massage, passant d’un pied à l’autre tout en ne quittant pas sa poitrine. Mon sexe était maintenant complètement en érection, me faisant limite mal à l’intérieur de son antre. Karine me fixait toujours et voyait bien mon érection, mais elle décida de s’amuser avec moi, aimant beaucoup ce rôle de dominatrice fétichiste.
— Alors on est à l’étroit Antoine ? Si tu veux pouvoir sortir, il faudra que mes pieds soient beaucoup plus humides qu’ils ne le sont déjà...
Ayant compris ce qu’elle voulait, j’acquiesçai d’un hochement de tête et ma langue commença à parcourir sa cheville désormais dégonflée. Voyant qu’elle en voulait plus, ma langue saliva tout le long de son pied jusqu’à atteindre ses petits orteils. Aucun ne fut laissé à son compte et bientôt, ils se retrouvèrent tous trempés de salives. Karine avait pendant ce temps fait tomber sa culotte pour se masturber lentement le vagin humide et affublé de quelques poils bien taillés.
— Il est temps de te récompenser, enlève-moi ...