1. Humanité


    Datte: 13/10/2019, Catégories: fh, ff, grp, fbi, jeunes, couple, vacances, plage, piscine, bain, forêt, douche, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme init, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... vie commune pendant plusieurs semaines, il serait peut-être utile de… enfin, comment dire…
    — D’essayer, tu veux dire ? C’est une sage précaution, et je ne demande pas mieux.
    
    C’est dans mon studio que nous nous sommes connus pour la première fois, comme on dit dans la Bible. La porte refermée, nos vêtements volèrent aux quatre coins de la chambre qui me servait aussi de séjour. En entrant dans la salle de bain, nous étions nus. Malgré l’étroitesse de la cabine de douche, nous fîmes nos ablutions ensemble. Très exactement, nous nous sommes lavés l’un l’autre, moi frottant son buste, lui caressant mes seins déjà durs d’excitation dont les pointes étaient dressées. Je sentis contre mon ventre sa verge tendue, et lorsque je la pris en main je fus surprise de son volume et sa fermeté.« Quelle érection ! » me dis-je.
    
    Il est vrai que si le corps nu de Pascal ne m’était pas inconnu, jamais je n’avais vu son phallus en érection. Certains hommes refrènent plus ou moins bien l’intérêt qu’ils portent aux filles, et il est croquignolet de voir leur sexe se gonfler, les plus placides ou aguerris parvenant à ne pas atteindre l’érection. Pascal n’avait jamais ce genre de problème : en public, son sexe – très beau au demeurant – restait toujours au repos.
    
    Après s’être savonnés sur tout le corps et nous être rincés, nous sortîmes de la douche. Pascal me sécha le corps avec un drap de bain. Il restait nu et j’admirais son corps et cette verge tendue vers moi. Il m’entraîna vers mon ...
    ... lit, et là il m’embrassa à pleine bouche. C’était la première fois que nous nous embrassions. Mon corps tendu de désir lui rendit son baiser. Je m’assis sur le bord du lit, alors sa queue se trouva à quelques centimètres de mon visage. Je la pris dans le creux de mes mains, pratiquant un petit branle presque imperceptible. Je rencontrai son regard plein de gratitude et d’encouragement. Alors j’ai posé mes lèvres sur la tige, y déposant de délicats bisous, puis j’ai commencé à sucer son gland. Mon excitation était grande et, oubliant toute convenance, son sexe entra dans ma bouche, et ce malgré son diamètre. Ma langue s’enroulait sur la tige. Mes mains caressaient ses fesses ou ses bourses. Il me caressait les cheveux sans exercer aucune pression sur ma tête pour diriger ma fellation.
    
    Il m’invita à quitter son sucre d’orge avec un sourire tendre. Il me coucha sur le lit et vint sur mes seins ; il les massa délicatement et les couvrit de baisers. C’était un merveilleux voyage en itinérance fait de moult détours qu’il faisait sur ma poitrine. Ses attouchements étaient si suaves que mes rondeurs ne tardèrent pas à durcir. Puis ses mains quittèrent ma poitrine et descendirent le long de mon ventre, sans précipitation, avec une lenteur toute calculée.
    
    Lorsque ses doigts entrèrent en contact avec la toison qui orne mon bas-ventre, ils jouèrent avec les poils. Enfin son visage s’insinua entre mes cuisses qui s’écartèrent voluptueusement pour l’accueillir. Il s’approcha de mon sexe ...
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