Terma 23 : Au ciné avec Said l’ami de ammi Ali :
Datte: 12/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Noura, Source: Hds
... ta terma aimait cela ! elle n’est jamais rassasié de la sodomie !). J’étais fâché, alors je me suis levé et je suis allé m’installer trois ou quatre rangs plus loin.
Dès que j’ai pris place, un autre homme s’est assis à coté de moi et m’a pris la main pour la placer sur son zob qu’il avait sorti. Que pouvais-je encore faire ! Il avait un beau et gros zob déjà bien gonflé. Je l’ai branlé puis sucé et quant il m’a poussé pour m’assoir sur ses genoux, sur son zob, j’ai baissé mon jogging. Et, me déplaçant en douceur, je me suis assis sur lui et j’ai enfoncé son zob dans ma terma. Penché en avant, je l’ai laissé me sodomiser à sa guise, mais je lui ai dis en français « attention ! n’éjacules pas dans mon cul mais dehors ! » et il m’a répondu, en arabe ! « ma t’khafach ! nikak faqat ! natlag 3ala teremtek mine barra faqat ! » ( ne crains rien ! je te nike c’est tout ! j’éjaculerais sur ta terma en extérieur seulement !). Je l’ai laissé faire. Son zob glissait facilement à cause des restes de sperme.
Cinq minutes plus ou moins lui ont suffi. J’ai senti son zob qui gonflait encore et je l’ai repoussé. Il a sorti son zob, s’est branlé une ou deux fois et éjacula sur mes fesses. Je me suis essuyé, remonté mon jogging et je me suis assis pour me reposer. Elles m’avaient vraiment fatigué, ces sodomies en série, sans souffler. Le gars, parti, je suis enfin resté seul.
Mais je sentais que mes fesses et cuisses, et même mon cul n’étaient pas bien essuyés. Alors, je me levé et ...
... jetant un œil aux alentours, j’ai repéré la porte « exit » pour aller aux toilettes. J’y sui allé. A l’intérieur, deux couples baisaient sans se gêner et même les bruits dans deux cabines prouvaient que d’autres se faisaient plaisir à l’intérieur.
Je suis entré dans une cabine et fermé le loquet. Puis, je me suis bien vidé le cul puis nettoyé à l’eau et essuyé au mieux les fesses et les cuisses. Je me sentais ainsi nettement plus propre et à l’aise. En sortant de la cabine, un jeune arabe s’est présenté à moi, face à face, en tenant son zob à la main. Il me regardait et m’offrait son zob, alors je lui ai dis « na3 tik e’t nikni idha ta3 tini teremtek ! aya ! » (je te laisse me niker si tu me donnes ta terma ! allez viens !). Il m’a regardé avec deception puis il s’est retourné et m’a laissé tranquille.
Je suis retourné à la salle et rejoins Said. Il était resté à sa place comme si de rien n’était. Je l’ai apostrophé avec un semblant de colère : « kifah ! ma rou7 touch ! » (comment ! tu n’est pas parti !). et lui, en ricanant : « lala ! kounout 3araf ! trouh t’nik ! teremtek takoul fik ! wa tarja3 li ! » ( non ! je savais ! tu iras niker ! ta terma te démanges ! puis tu reviendra vers moi !). Je me suis assis mais il me poussa en disant « aya oulaydi ! e’n’rou7ou ! rah la7ag eleil ! » ( viens mon fils ! on s’en va ! il commence à faire nuit !).
On a quitté le cinéma et effectivement il commençait à faite sombre et je dois retourner au baraquement pour faire notre diner à ...