Petite de taille, grande d'esprit....
Datte: 12/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Le soir en rentrant du travail au lieu de me rendre chez moi, je me suis rendu du côté de chez Marie-Ange. Elle habitait dans un des quatre logements sociaux que possédé le village. J’ai tout de suite sus qu’elle se trouvait chez elle, trahit par la lumière crû d’une ampoule qui filtrée de sa fenêtre. Je n’ai pas pus résister à la tentation d’aller lui rendre une petite visite. Pour m’assurer qu’elle garderait bien le silence.
J’ai jeté un regard autour de moi pour m’assurer que personne ne se trouvait dans les parages. Sachant très bien qu’il était absolument impossible de trouver âme qui vive, à cette heure là, de ce côté du quartier. Mais j’ai tout de même persistais à vérifier, c‘étant jamais ! Comme si je devais commettre un outrage ou un crime.
J’ai poussé le portail et j’ai pénétré l’espace qui resté tout de même privé. Je me suis avancé jusqu’à toucher le bâtiment. De la musique filtré de l’appartement de Marie-Ange. Et ça, bien que tout soit clos chez elle. À travers la vitre j’ai pu voir la demoiselle s’affairait au-dessus de l’évier en gesticulant du cul au rythme de la musique. Un mètre cinquante à tout casser. Elle portait ce soir-là un tee-shirt. Assez moulant. De taille un peu juste pour elle. En dessous l‘ourlet, un large bourrelet de chair nue débordait par-dessus la jupette.
Elle s’est retournée, m’offrant son visage allongé. Loin d’être désagréable à voir, elle respirait la joie de vivre.
À voir le ballottement de ses grosses mamelles libres ...
... sous le tee-shirt, elle ne portait pas de soutien-gorge. Je la trouvais vraiment sexy, très sensuelle, malgré sa petite taille. Quel mâle résisterait à l’appel de ce corps. Même ci c’est une naine qui ce trouvait devant mes yeux.
Il m’en fallait pas plus pour prendre la décision d’allait sonner à sa porte. Bien sûr à cause de la musique trop forte, elle n’a pas entendu le premier coup de sonnette. Comme elle n’a pas n’en plus entendu la suivante. J’ai alors pesé sur la poignet de la porte et j’ai poussé. N’était pas verrouiller, cette dernière a tourné sur ses gonds. Comme cela ne se faisait pas d’entrer chez quelqu’un sans y être invité, je suis resté immobile sur le pas de porte. Attendant patiemment qu’elle s’aperçoive de ma présence. Comme c’était prévisible, elle a sursauté en me voyant. S’empressant avec l’air sévère, et d’un pas décidé d’aller couper la musique.
- Mais ! Mais ! M’aboya-t-elle. Il ne faut surtout pas vous gênez…
- Je m’excuse mille fois, mais j’ai sonné deux fois sans réponse.
- Et alors ce n’est pas une excuse pour rentrer chez les gens. Je rentre chez vous moi ?
- Je suis désolé.
- Vous pouvez y être. Bon ! Bon ! Pourquoi êtes-vous chez moi ?
- Un petit problème à résoudre.
- Je vous écoute.
- C’est à propos de Joëlle.
- J’en étais sûr. Et alors, qu’est-ce j’ai à voir, là ?
- A ce que je sache elle t’a fait une confession ?
- Ah oui ! Fit-elle, un petit sourire moqueur aux lèvres. Et c’est pour ça que vous venez ...