Randonnées sans culotte
Datte: 11/10/2019,
Catégories:
f,
inconnu,
copains,
sport,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
préservati,
Auteur: Babethdelaude, Source: Revebebe
... l’endroit où était garée ma voiture, l’un d’eux refusa, mais le second me fit un clin d’œil.
J’étais super excitée au point que j’ai léché l’intérieur des préservatifs qui jonchaient le sol en me masturbant avec ma petite bouteille d’eau minérale qui s’est un peu écrasée car pas suffisamment remplie.
Le retour à la voiture fut fait au pas de course, j’avais le cœur qui battait la chamade, mais j’ai fait tellement vite que j’ai dû attendre deux heures avant de voir arriver une voiture.
Ils étaient deux, mais un seul de l’après-midi, l’autre était un inconnu, mais plutôt pas mal, grand et baraqué comme je les aime. J’ai donc perdu la lance fine au profit d’une autre, pas très longue mais avec un gland gros comme un petit abricot, une véritable friandise en bouche.
Passé les présentations, j’ai jeté mes fringues dans la voiture pour m’enfoncer un peu dans le sous-bois avec eux. Il commençait à faire un peu sombre et cette semi obscurité me rendait encore plus électrique.
Ils m’ont présenté une boîte de dix préservatifs réservés rien que pour moi.
Ce fut plus sensuel que dans l’après-midi, car on s’est embrassé, quatre mains qui vous caressent le corps c’est divin. L’acte sexuel fut aussi bien meilleur car ils m’ont prise debout, couchée, à quatre pattes et même une sodomie penchée les mains au sol. Je dois admettre que mon petit cul a opposé une petite ...
... résistance au gros gland du balèze, mais quand il a passé ce premier barrage, quel bonheur.
Le dernier venu a réussi à jouir trois fois, tandis que l’autre s’est limité à deux.
Mais moi par contre, ils m’ont fait jouir presque une dizaine de fois et pas des orgasmes un peu tièdes, mais le truc qui vous laisse la bouche grande ouverte et la tête en vrac.
Quand on a eu fini, il faisait nuit noire et j’étais complètement vannée, d’ailleurs les cinquante kilomètres du retour m’ont parus interminables.
On s’est échangé nos numéros de téléphone et presque tous les week-ends de cet été, je les ai passés avec eux, dont une semaine entière en juillet sans la moindre fringue avec moi au milieu des bois au bord d’un ruisseau. Entre la peur et la baise, ce fut un truc de fous où j’ai même eu droit à un troisième invité le samedi.
Cet hiver, j’ai refait l’amour chez moi avec ce grand balèze qui me plaît tant, mais je n’ai jamais réussi à retrouver les mêmes sensations.
Les beaux jours sont de retour, et je n’ai qu’une hâte, recommencer, car j’ai passé des nuits et des nuits à fantasmer dessus. Je ne vous dévoilerai pas jusqu’où vont mes fantasmes, mais c’est beaucoup plus hard que la réalité.
Je ne l’ai jamais raconté à personne de mon entourage, mais je me suis sentie obligée de le partager avec d’autres, d’où cette publication sur un site d’histoires érotiques.
Babeth