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À l'ombre de ses ailes (4)
Datte: 11/10/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... corps. La peur de Claude se transformait en une marée de soupirs, de gémissements de toutes sortes. Quant à Malo, il ne se retenait plus et tentait désormais de forcer le passage entre les mâchoires de sa presque amante. Elle criait, mais ses plaintes ne provenaient d’aucun mal, non rien de tel. Ce fut encore elle qui prit l’initiative. Elle vint se coucher littéralement sur le corps de l’homme. Elle était à cheval sur lui et son ventre se frottait honteusement à celui du mâle. Lui n’eut rien d’autre à faire que de guider sa fusée vers le pas de tir. Elle avait les jambes de part et d’autre de celles de son partenaire. Elle souleva simplement les reins et la patte qui menait la baguette poussa l’engin vers la porte. Elle eut littéralement le souffle coupé alors qu’il enfonçait son pieu en elle. Tout d’abord, elle eut cette nette impression que son sexe allait la déchirer, tant sa chatte se trouva distendue. Petit à petit, l’homme forçait le passage. Et en serrant les dents, la bite s’engouffra d’un coup dans la caverne dont les parois s’étaient finalement suffisamment décontractées pour qu’elle y entrât. Elle resta un long moment sans bouger, attendant peut-être que ça devienne moins douloureux. Puis elle se mit lentement à remuer du popotin, sans monter ou descendre sur la queue. Seulement en remuant très, très doucement. Malo aux anges, se laissait dorloter avec plaisir. Les choses se mettaient en place toutes seules. La première douleur, due à la crispation, ...
... laissait le champ libre à une autre forme de plaisir. Celui qui monta d’un coup en elle la tétanisa sur le pénis enfoui profondément en elle. Heureusement qu’elle mouillait d’abondance. Le tenon se mit à coulisser dans la mortaise et il lui fallut peu de temps pour ressentir les spasmes libérateurs d’un orgasme intense. Les soubresauts du ventre de Claude furent immédiatement rattrapés par ceux de la queue qui maintenant se frayait en elle un passage terriblement excitant. Une odeur de sexe remplaçait celle plus insidieuse de l’orage qui grognait toujours. Puis le bruit de ces aller et retour du piston qui forçait la chatte en feu de la brune vint encore ajouter à l’atmosphère graveleuse de la chambre. Ils firent l’amour longtemps, sans se préoccuper du temps ou de l’heure. Claude perdait toute retenue, toute notion aussi de ce qui se passait autour d’elle. Son corps tout entier tremblotait. Elle psalmodiait des mots qui n’avaient plus aucun sens. Des phrases incompréhensibles, que du reste Malo ne pouvait plus entendre non plus. Sa semence inondait l’intérieur de ce vagin qui se portait si bien à sa queue. Les giclées lâchées ne cessaient plus de jaillir avec une force qui emportait tout dans la tête du baiseur, mais aussi dans celle de la baiseuse. Le sommeil les emporta alors que Malo la serrait dans ses bras après l’avoir prise avec délicatesse à plusieurs reprises. Non seulement il avait un sexe de gros calibre, mais il savait également s’en servir. Claude avait pu le ...