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De Dame patronnesse à libertine. (1)
Datte: 10/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... genoux sont trop faibles pour me soutenir sur mes talons hauts. Ils me jettent sur le canapé où je me repose le temps que quelqu’un s’intéresse à nouveau à moi ! Jacques s’assied et me tire sur ses genoux. Il étend ses jambes, je peux enfin voir tout ce qui sort de ma chatte. Le sperme couvre mes cuisses et goutte sur mes jambes repliées sous moi... La queue de Jacques est à nouveau rigide. Il prend de l’huile de cuisine dans une bouteille douteuse pour me lubrifier le cul ! Je couine lorsque le doigt entre, puis un second mais ils coulissent avec facilité même si je continue à me plaindre, juste un peu pour la forme ! — Du calme Madame Dubois. Lorsque ma bite va vous pénétrer, alors vous aurez raison de crier. Elle est beaucoup plus grosse que mon doigt ! Il écarte mes fesses de mère de famille n’ayant jamais goûté à la sodomie tout en me soulevant légèrement. Je me laisse faire, trop fatiguée pour résister à quoi que ce soit d’autre, mais aussi pleine d’une envie malsaine : Là où j’en suis, plus rien ne m’importe que de JOUIR ! Il avait raison... Je crie quand je m’assois sur son membre. J’ai l’impression d’être coupée en deux. Les larmes me montent aux yeux alors que Jacques ne montre aucun relâchement. Il stoppe une fois pour lubrifier sa queue avec du sperme puis il continue à la faire descendre sur son pieu. — Non ! S’il te plaît ! Je ne peux pas Jacques ! Elle est trop grosse pour moi ! Sa queue ne semble pas finir. Mais elle rentre ...
... complètement. Je fais de son mieux pour la serrer mais je sens que mon cul est entièrement dilaté. Voilà pourquoi je ne voulais pas que mon mari me prenne par là. Jacques reprit : — Je suis flatté de savoir ce que vous pensez de mon attribut Madame Dubois. Je suis flatté aussi d’être le premier à entrer dans votre cul... Attendez que la douleur disparaisse et vous vous sentirez au septième ciel. Thierry, donne-lui quelque chose pour soulager la douleur. Thierry sourit. Il laisse sa queue courir le long de sa chatte : — Dites-moi Madame Dubois que vous n’avez-vous pas envie de tout ça ? J’acquiesce un peu comme une somnambule, alors que mes larmes continuent de couler. Mon cul est rempli et je ne peux pas dire si c’est désagréable ou agréable. Mais j’oublie vite cette sensation vite quand Thierry m’enfile la chatte. Je le regarde plonger sa bite tout au fond de moi et la retirer couverte de filaments blancs collants. Ses mains tripotent mes gros seins torturant les bourgeons. Pierre a retrouvé sa rigidité. Il se lève pour une autre fellation. Je secoue la tête négativement : J’ai la mâchoire endolorie. Mais Pierre ne veut pas comprendre le message. Mes lèvres engloutissent la queue une fois de plus. Dans mon esprit, la voix sombre revient : Il y a trois bites en toi maintenant... sale pute. Je parie que tu aimerais avoir un quatrième trou pour que Bruno puisse vous rejoindre. Il va devoir se contenter de tes mains. J’attrape le membre de Bruno ainsi ...