1. L'AMIE DE MON AMIE EST MON AMIE...


    Datte: 10/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... offusquée, fixant avec des yeux gourmands mon phallus qui bandait. J’étais totalement bluffé, moi qui la croyais seulement portée sur le sexe féminin.
    
    Je fis glisser de nouveau ma main sous la robe de Claire, non pas pour la fouiller mais pour lui soutirer son string. Je le portais à mes narines, sous les yeux envieux de Valérie. Elle me regardait humer le fumet du string, dont il se dégageait une odeur subtile de désir.
    
    L’alcool plus l’excitation devinrent un cocktail explosif pour Claire qui, toujours assise sur moi, prit l’initiative d’empoigner mon sexe de sa main droite et à tâtons se le plaça à l’ouverture de ses reins, puis se laissa tomber dessus de tout son poids. Résultat, ma queue fut gobée et gainée d’un fourreau très accueillant.
    
    Lâchant le string, j’ai saisi les chevilles de Claire dans chaque main et ai fait poser ses pieds sur chacun des accoudoirs du fauteuil. La prenant par-dessous les fesses, je me mis à lui pilonner l’anus à grand coup de bite. Valérie, les yeux brillant d‘excitation, s’approcha de nous, prit la robe de Claire par le bas et la retroussa très haut sur son ventre, admirant ma pine en action. Un vrai piston infatigable qui montait et descendait.
    
    Allant de surprise en surprise, je vis la main de Claire s’infiltrer sous la robe de son amie. Elle progressait le long de la jambe, entraînant le tissu du vêtement vers le haut, dévoilant sa forte jambe gainée de noir. Valérie restait de marbre, les yeux aimantés sur ma bielle en action. ...
    ... Elle était comme hypnotisée, insensible à ce que lui faisait Claire.
    
    Après l’avoir délestée de ses sous-vêtements, et d’une voix que je ne lui reconnaissais pas, Claire demanda à son amie, d’enjamber le fauteuil. Je pense qu’à cet instant on lui aurait dit de décrocher la lune, Valérie la décrochait. Elle s’est hissée tant bien que mal sur les accoudoirs, (la souplesse n‘était pas son fort). Ma compagne a retroussé sa robe vers le haut. Je fis alors la connaissance avec son sexe. Un sexe bien emmitouflé dans un épais buisson de poils noirs d’où se dégageait une forte odeur de transpiration. Valérie s’est stabilisée en appuyant ses mains sur le dossier du fauteuil. Mais là, comme un photographe du siècle dernier, Claire engagea sa tête sous la robe de sa copine, relâchant le tissu qui tomba, comme tombe un rideau pour signifier la fin de la séance. J’imaginais ses lèvres enfouies au creux du ventre de Valérie, qui s’ouvrait à la bouche qui la mangeait.
    
    Oui, Claire, c’est là, oui, plus fort, mors-moi. Oui ! Encore ! Ne t’arrête pas.
    
    Je regrettais de ne pas avoir installé un miroir, pour pouvoir jouir du spectacle que formait notre trio. Puis la tête de Claire a jailli de dessous la robe. Elle a tourné son visage vers moi, comme pour attester son acte. La bouche ouverte, les lèvres luisantes de sécrétions. J’immortalisai cette image à tout jamais dans ma mémoire.
    
    Valérie est descendue de sa hauteur pour venir s’agenouiller devant nous. Elle a plongé sa tête en avant ...
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