1. L'Île de Marana Chapitre 07


    Datte: 10/10/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica

    ... donnent leur adresse, me demandant de les contacter à mon retour.
    
    — Nous te ferons goûter les délices du désert, me promet Halima en passant sa main sur ma cuisse. Tu as l'air à l'aise à poil.
    
    — Cela n'arrête pas. Elles me font toujours le coup. A la fin, je crois que si je me comporte bien comme elles veulent, je n'ai pas de problème.
    
    — Tu as raison. Il paraît que beaucoup de types ont disparu, ils étaient contre le système, répond Chayma.
    
    — Mais ces femmes ont raison, poursuit Halima un peu allumée. Je trouve que les hommes devraient être nus et soumis. Viens à Marrakech, tu verras.
    
    Je ne sais pas où elle veut en venir, la porte de la cellule s'ouvre et une géante noire ordonne à mes deux compagnes de venir. Je reste donc seul une bonne demi-heure avant d'être emmené devant la capitaine, toujours porté par les poignets.
    
    — Sonya m'a dit du bien de toi, ainsi que Sal'Lah. Je serai donc indulgente, mais tu comprends que tu as commis un délit et que tu dois être puni?
    
    — Oui madame, je comprends très bien, me soumets-je. Je suis vraiment désolé. Punissez-moi comme je le mérite.
    
    — C'est bien que tu te soumettes. Un mâle doit être nu et soumis. Je te condamne donc à quarante heures de travaux au service de la police.
    
    Elle fait signe à celle qui est derrière moi et à nouveau je suis emmené par les ...
    ... poignets. Cette fois, nous allons à l'arrière. Elle me montre une pièce sale.
    
    — Tu ranges et tu nettoies, m'ordonne-t-elle.
    
    Mon calvaire commence, je passe la journée à tout nettoyer et frotter, la pièce semble avoir été négligée pendant des années. Enfin, tard le soir, elle est propre, et une femme vient me chercher par les poignets pour m'emmener dans une cage. Je reçois un bol d'eau et un morceau de pain. J'ai faim et soif et avale le tout rapidement. Une autre géante vient soulever la cage par une chaine et je me retrouve suspendu dans les airs, à cinq mètres du sol. La cage est inconfortable. Je passe une nuit épouvantable, jusqu'au matin où je dois sortir et aller courir dans la cour devant deux géantes noires. Je cours en rond autour d'elles, avant qu'elles ne m'aspergent avec des lances d'incendie. Enfin, je suis ramené dans le grand bureau. Cette fois, je dois prendre un seau et une brosse et nettoyer le sol à quatre pattes.
    
    Quelle humiliation, surtout quand je vois passer des filles en tunique grise qui sont arrêtés et questionnées. A croire que la police ne fait que ça dans ce pays. Il n'y aura certainement plus de touriste après cette saison. Parfois, je suis nu et à quatre pattes dans l'entrée et des filles me voient ainsi occupé de frotter le sol.
    
    Je passe ainsi une deuxième et une troisième journée. 
«1...3456»