Toutes les femmes s’appellent Marie : La caissière du supermarché
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... y a si longtemps que je n’ai… »
Je pose un doigt sur ses lèvres pour la faire taire, me penche sur elle pour prendre sa bouche et l’enlacer. Elle me rend aussitôt un baiser brûlant et se colle à moi. Elle soupire en sentant ma queue dressée entre nous et frotte son bassin contre le mien.
Elle se recule d’un pas, me regarde fixement, attrape sa robe par le bas et la retire par la tête. Elle se retrouve en culotte face à moi et après avoir jeté la robe, enlève son dernier rempart de tissu.
Cette femme est superbe. Des seins, pas très gros, mais qui tiennent bien pour son âge et dont les tétons sont bien dressés. Elle est entièrement épilée à l’exception d’un mince filet noir très érotique au dessus de la fente, ce que j’avais vu sur les photos. Elle revient se coller à moi. Je sens sa chaleur à travers mes vêtements. Elle a gardé ses chaussures et est ainsi légèrement plus grande que moi. Tout en m’embrassant, elle retire mes vêtements, la veste, puis la chemise. Ses seins plaqués contre mon torse me communiquent sa chaleur. Je la caresse dans le dos et sur les fesses, ce qu’elle semble aimer. Son corps charpenté et musclé m’excite particulièrement, toutefois, je la laisse agir à son rythme.
Elle attaque ma ceinture, puis descend mon pantalon et mon boxer sur les chevilles, ce que je trouve ridicule, mais Marie se fiche de cela, elle saisit ma bite, lève les yeux vers moi d’un air gourmand en passant la langue sur ses lèvres.
Accroupie sur les talons, jambes ...
... écartées, elle lèche le gland et la hampe. La prend entre les doigts pour rouler les boules dans sa bouche, grognant de satisfaction. Enfin, elle m’avale d’une gorge profonde.
La fellation dure un moment et à la fin, je dois l’aider à se relever car ses cuisses sont tétanisées. Nos bouches se retrouvent, debout nus au milieu du salon.
- « Prends-moi ! J’ai envie ! » Murmure-t-elle en m’entrainant vers le canapé.
Je me détache d’elle pour libérer mes chevilles, puis m’avance vers elle étalée, bras et jambes ouverts, un grand sourire aux lèvres. Elle me tend un sachet de préservatif - décidément elle a tout prévu - Je n’ai qu’à me pencher sur son corps pour qu’elle relève ses jambes et les noue dans mon dos. Ma queue trouve sa chatte béante sans problème et je me fiche à fond dans son antre.
Marie n’est pas une « taiseuse » Elle commente l’acte sexuel, grogne, crie, soupire fort, demande, encourage, en redemande. Les mots l’excitent et c’est aussi excitant. Lorsqu’elle entre dans la phase ultime du plaisir, il ne faudrait pas que les voisins soient trop près, sinon, ils n’auraient aucun doute sur son activité.
Elle appelle un chat un chat ! Elle est bonne ta queue ! Ouiiii ! Je la sens bien ! Vas-y ! Défonce-moi ! Baise-moi fort ! Ouii ! J’aime ça ! Je viens ! Ouii ! Encore ! …. J’en passe. Son corps devient brûlant son odeur de femme monte aussi. La furie secoue la tête, tente d’ouvrir les yeux et quand elle est submergée par l’orgasme, Gueule son plaisir. Son vagin ...