1. Toutes les femmes s’appellent Marie : La caissière du supermarché


    Datte: 10/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... Pardon, ça ne me regarde pas en fait, excuse-moi
    
    Pas de problème ! On est assez libres pour se raconter ça. Mais je ne pense pas que ce sera sexuel ni sérieux.
    
    A demain !
    
    Si je ne suis pas encore occupé ! dis-je en riant »
    
    En plus du champagne j’ai acheté un bouquet de fleurs que Marie n’a pas vu. Un bouquet assez neutre, mais qui pour ceux qui comprennent ce langage, peut être interprété (attirance, sexe.…).Une orchidée rouge symbolisant mon désir de lui faire l’amour. Il se trouve que Marie connaît la signification de cette dernière et qu’elle me l’avouera plus tard.
    
    Il fait nuit lorsque je frappe à la porte. Marie Noëlle ouvre et me fait entrer rapidement. Prenant le bouquet, elle rougit « il ne fallait pas ! » Elle me fait la bise naturellement pour me remercier, ce qui me permet de respirer à nouveau son parfum capiteux. Elle a chaud et ça m’électrise.
    
    Elle me précède vers le salon et je peux découvrir sa tenue. Une robe noire évasée, s’arrêtant largement au dessus des genoux. Les jambes sont nues et elle porte de jolis escarpins qui affinent sa silhouette. La robe moule bien ses formes que j’ai pu apprécier par ailleurs. Elle revient avec un vase et une bouteille de champagne.
    
    « Il est frais ! J’ai mis la votre à la place. Si vous le voulez, nous pouvons prendre celle-ci pour l’apéritif. Cela ne fera pas de mélange.
    
    Tout à fait d’accord ! »
    
    J’ouvre la bouteille pendant qu’elle place les fleurs dans le vase. Lorsqu’elle se penche, j’ai ...
    ... l’impression que sa poitrine est libre sous la robe, ce qui me titille un peu. Nous trinquons à la soirée. Marie s’est aussi maquillée et ses yeux sont mis en valeur.
    
    - « Puis-je abuser de votre gentillesse ? J’aimerais faire un peu de ménage sur mon ordinateur, mais j’ai peur de faire des bêtises. »
    
    J’accepte bien sûr. Elle va chercher le portable et l’installe sur la table devant moi. Elle s’installe à mes côtés pour me montrer ses besoins. Cette proximité est fort agréable. Je sens sa chaleur et nos bras se frôlent.
    
    Elle me fait supprimer des programmes malveillants ou indésirables. Je lui conseille un antivirus que j’installe. Pendant les moments où la machine travaille nous discutons tout en sirotant le breuvage à bulle. Elle s’émerveille de ma facilité. Je ne sais si c’est pour me flatter ou si c’est naturel. Le travail avance bien et la bouteille se vide. Bientôt, sa machine est configurée et je redémarre pour mettre à jour. La bouteille est vide et Marie va cherche la seconde, s’excusant presque « d’adorer ce nectar ». Ses joues sont plus roses et ses yeux brillent.
    
    Son PC redémarre plus vite. A la demande du mot de passe je lui demande de le saisir, mais elle me le donne. Je lui dis que ce n’est pas sérieux ! Mais que je vais m’empresser de l’oublier (difficilement me dis-je)
    
    « Oh mais, je n’ai rien à cacher ! Quoi que…
    
    Vous voyez, il ne faut jamais donner un mot de passe. Il faudra le changer.
    
    Ah ça, je ne sais pas faire. » Je lui montre mais elle ne ...
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