1. Trixie - Une virée de débauche totale


    Datte: 09/10/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Trixie, Source: Hds

    ... couilles qu'il a !
    
    - Et moi ? Depuis le temps que je me fais baiser, je n'ai pas encore joui...
    
    - Victor, Trixie désire connaître un orgasme...
    
    - Ses désirs sont des ordres monsieur.
    
    L'immense mandrin du majordome pénétra à nouveau mon sexe béant et ruisselant. Ma bouche s'activait sur le gros sexe de Jeannot, je le branlais ardemment, ma langue léchait ses couilles velues, il geignait de béatitude, le visage congestionné, grognait en se tortillant mais n'éjaculait pas. Victor était en train de faire naître un tourbillon de plaisir dans mes entrailles.
    
    - Je crois que votre pipe, si bonne soit-elle n'arrivera pas à me faire jouir, mademoiselle Trixie, je n'ai qu'un désir c'est de rentrer ma bite dans votre chatte, j'en meurs d'envie... s'il vous plaît... geignit Jeannot !
    
    - Eh bien Trixie, dit Alfred qui ne perdait rien du spectacle, je crois qu'il va falloir le satisfaire !
    
    Victor cessa ses pénétrations, je me mis à califourchon sur les jambes ridées de vieux monsieur, et m'empalais lentement sur son rouleau, qui malgré son âge était dur comme du bois. Victor avait attisé mon désir, je montais et descendais le long de la bite de Jeannot, l'embrassant, frottant mes mamelons contre son torse graisseux et poilu, le plaisir montait, mon ventre s'embrasait, un cri sortit de la gorge de Jeannot, il se raidit et son sperme gicla dans ma chatte au moment ou l'orgasme me
    
    transperça le corps et le cerveau, mes muscles vaginaux se crispèrent autour de la ...
    ... vieille bite, ce qui procura un dernier spasme de jouissance au vieillard. Alfred debout à coté de moi, me présenta sa queue.
    
    - C'est extra, ouvre vite la bouche, avale mon sperme...
    
    - Çà y est, dit Marcel, en riant je vais pouvoir servir.
    
    Jeannot nous invita, le repas fut excellent et surtout bien arrosé... On se quitta, pas ivre, mais très éméchés. Il était vraiment tard. Sur le chemin du retour, nous avions décidés de marcher pour évacuer les vapeurs d'alcool, Alfred était intenable, Il bousculait les poubelles, s'essayait à chanter des chansons paillardes... On croisa une patrouille de police, il se moqua d'eux. Tant et si bien que les représentant de l 'ordre nous arrêtèrent tous le trois pour finir la nuit en cellule de dégrisement.
    
    Au commissariat, il y avait deux cachots puissamment éclairés, séparés par des barreaux. Dans chaque cellule un espèce de lit trônait au centre, l'un deux était occupé par une sorte de clochard trapu, assez gros, moustachu le cheveux longs, il avait l'air de dormir
    
    Alfred discuta longuement à voix basse avec notre geôlier, Il me sembla que des billets changeaient de main.
    
    - Bon vous deux, les deux mecs entrez ici, vous mademoiselle dans celle-ci.
    
    Il me poussa presque dans celle ou dormait le clochard, ferma la porte à clef, et quitta la pièce.
    
    - Pourquoi, m'a-t-il séparée de vous ?
    
    - Tu ne t'en doutes pas un peu, me répondit Alfred... en souriant.
    
    Je fis la moue, en regardant l'homme qui dormait, il n'était pas ...
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