1. Messager grec 4


    Datte: 15/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Hâakon, Source: Hds

    ... si mais j'ai pas pour envie de m'offrir à toi pour assouvir un fantasme. Viens.
    
    La paysanne m'entraina vers l'étang et me força à regarder la beauté ravagé de mon corps dans l'eau. Que voyais je ? Hmp, Athéna me désirait avant mes blessures c'était cela la différence avec les autres femmes depuis.
    
    -Je sais ce que tu vois. C'est ce que les autres voient aussi.
    
    -Alors pourquoi me le montrer ? S'il te plait je n'ai aucun plaisir à me voir, je ne veux pas te donner ce que tu veux.
    
    -Regarde messager. Tu crois que je veux quoi ? Tu es beau enfin regarde ton visage. Et tes bras ou tes cuisses ? Ne sont -elles pas sculptées dans du marbre ? Tu es tellement obnubilé par tes blessures que tu as oublié TOUT ton corps. Tu n'es pas un coureur tant vanté pour la beauté visible de ton corps. C'est juste toi qui as changé car c'est ce que tu crains. Tu n'es pas le premier homme ainsi que je décide de m'offrir, arrête avec ça et fais plaisir à une femme qui ne demande que ça...
    
    -Tu es bizarre pour une paysanne...
    
    -Ah les hommes je te jure ! On est pas toute des Hélène ! Bon maintenant que ta crise philosophique d'idiot est finit tu peux me faire le plaisir de me regarder comme tu le dois !
    
    Ce que je fis. Elle était blonde, de grands yeux verts, une peau d'albâtre et une paire de sein comme je n'en avais jamais vu. Ils déformaient sa tunique et étaient une invitation au plaisir, en fait tout son corps. Elle m'adressa un sourire magnifique de ses lèvres pulpeuses et ...
    ... m'invita d'un geste à la suivre.
    
    L'endroit était vraiment très beau, il y respirait une certaine douceur. Les branches masquait une partie du soleil mais laissait filtrer la lumière en donnant l'impression d'être dans un cocon. Les arbres étaient recouverts de mousses, l'herbre chatouillait (un peu) et il y avait des buissons moelleux ici et la.
    
    La paysanne se défit de ses sandales et se laissa tomber dans l'un des buissons aussi moelleux qu'un matelas. Je me laissait tomber à coté d'elle en me disant que j'avais été idiot oui. Une déesse m'avait sauvé et permis de garder ma force physique malgré des blessures qui auraient du me condamner à l'inaction, quasi totale, sexuelle comprise...
    
    Penché l'un contre l'autre nous nous embrassions, elle nettement plus fougueuse que moi mais n'allant pas plus loin, pour le moment. Je remontais lentement ma main contre sa jambe et sa cuisse pour ensuite aller vers son entrejambe mais elle me repoussa et s'écarta un peu. Elle se redressa un peu et m'adressant un sourire coquin descendit les franges de tissu sur ses épaules, les dénudant lentement avant que je ne me redresse aussi et que je l'embrasse.
    
    Ses seins énormes et lourds retenait sa tunique que je fis glisser d'un geste. La jeune paysanne se les caressa sous mes yeux avides de désir et d'un mot de sa part je plongeai mon nez dedans. Ils étaient chauds et je ne pouvais m'empêcher de sucer ses gros tétons encore et encore et de la malaxer comme si c'était la premire paire que je ...
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