1. Une aventure érotique : Tour de France


    Datte: 08/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: DeLaLune, Source: Hds

    ... situation d’autant plus vicieuse pour moi…
    
    Karl me coucha sur le lit et se déshabilla… Quel athlète ! Il avait de beaux pectoraux et des muscles bien dessinés, son bronzage faisait luire sa peau et je n’avais qu’une envie c’est de le toucher et de le goûter ! Délicatement il me quitta mes habits et pencha sa tête sur ma petite chatte trempée. Le néerlandais savait s’y prendre, je n’avais jamais connu d’homme qui lèche aussi bien une femme… On se mit en soixante neuf et je me jetais comme une morte de faim sur son joli sexe bandé à l’extrême. Je me délectais de l’instant et de cette verge, dehors la foule criait au passage du premier coureur… Karl décida alors de me faire l’amour, il entra son pénis dans mon minou et commença des va-et-vient. Les cris d’encouragements du dehors semblaient être une invitation à l’encontre de Karl pour qu’il me besogne toujours plus fort et plus vite. Le jeune homme, sportif, avait non seulement un sexe performant mais également une endurance hors norme ! Croyez moi les filles se faire sauter par un jeune et beau sportif qui sait s’y prendre avec les femmes… Il n’y a rien de tel ! Malgré moi je poussais des cris de plaisir, j’hurlais même tellement ...
    ... c’était bon ! C’était la première fois qu’une telle chose m’arrivait, je n’arrivais pas à me contrôler, la jouissance était trop forte ! La foule couvrait sûrement mes bruits mais je découvris plus tard en sortant du camping car que les plus proches voisins s’étaient tout de même aperçu de quelque chose et ce fut quelques ricanements et sourires en coin qui nous dévisagèrent !
    
    Notre partie de jambes en l’air ne dura qu’un quart d’heure environ car il ne fallait tout de même pas exagérer, mon mari allait commencer à me chercher et à se faire du souci s’il ne me voyait pas aux alentours. Comme si de rien n’était je précédais Karl pour retourner un virage plus bas. Il y avait encore des coureurs retardés qui escaladaient le col… Mon mari et mes amis ne s’étaient pas inquiétés, je leur dis que j’étais montée un peu plus haut car d’après moi il y avait une meilleure vue et ils le crurent !
    
    Karl nous ramena de quoi boire, mon mari trouva que c’était un homme charmant et qu’il avait bien fait de nous ramener de quoi nous rafraîchir ! Le pauvre chéri ! Il ne pouvait pas se douter que de tous, c’était moi qui avait le plus besoin de me désaltérer vu l’énergie que je venais de dépenser ! 
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