COLLECTION LESBIENNES. Les vieilles dames indignes (1/1)
Datte: 15/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... cire même si c’est douloureux.
• Je peux entrer, c’est Odette.
• Oui, entrez, que me voulez-vous ?
• Je vois que j’ai beaucoup vieilli, c’est Odette !
• Odette, oui, la directrice l’a dite, tu es marié avec Marc avec qui tu ne sembles n’avoir aucun atome crochu.
• Tu l’as remarqué, mais je voudrais te dire autre chose.
• Je t’écoute.
• Te souviens-tu du lycée de bonne sœur Sainte-Croix ?
• Oui, j’y étais pour mon bac, il y a bien longtemps, non d’un chien, je suis bête ou ma vue a baissé, Odette mon amie.
• Ce sont mes traits ridés et mes cheveux blancs, nous étions jeunes et fraîches dans ces années-là.
• Et tes rondeurs, je dirais même tes bourrelets, les autres t’appelais boubouler ou le tonneau, excuse, je dois réveiller de mauvais souvenir.
• Non, de bons souvenirs, car tu as été la seule à t’inquiéter du mal que l’on me faisait.
• C’est ce qui a précipité mon mariage.
• Et les miens sans que tu le saches.
• Il est vrai que nous avons été imprudente, se faire prendre dans les toilettes à s’embrasser et être convoqués à un conseil de discipline avec nos parents.
• Entendre la principale dire qu’il était inadmissible que dans son lycée deux gouines restent ensemble a été rude surtout quand je me souviens que ce qui a provoqué notre rapprochement, c’est le jour où nous l’avons vu brouter la chatte de la surveillant générale.
Nous avons entendu du bruit derrière nous, nous nous sommes retrouvés dans les bras l’une de l’autre et ...
... ça a été notre premier baisé.
• On nous a séparés et j’ai dépéri perdant vingt kilos grâce à toi.
• Moi, on m’a envoyé chez ma grand-mère maternelle près de Lyon, ils m’ont fait rencontrer Léon, nous sommes devenues amants et nous avons eu Virginie qui m’a donné deux petits jumeaux Arielle et Alexandre.
• De mon côté, c’est dans un internat breton que je me suis retrouvée papa étant de là-bas.
C’est dans cet institut, que j’ai franchi une étape dans l’amour des femmes que tu avais déclenché, j’ai eu plusieurs filles comme maîtresses dont une surveillante de nuit que je rejoignais à la nuit tombée, elle m’a tout appris des amours féminins.
Une nuit branle-bas de combat, une salope à qui je m’étais refusée sachant que les relations qu’elle entretenait avec une élève qui était partie étaient du genre sadique.
J’aimais un peu de rudesse, acceptant même d’être fisté par Aurore, c’était le nom de la surveillante mon amante, j’adorais qu’elle me mette sa main entière au fond de ma chatte.
L’autre salope, elle brûlait les fesses de sa protégée avec les mégots des cigarettes qu’elle fumait en cachette.
J’aimais aussi quand elle me faisait couler de la cire de cierge qu’elle allait récupérer à la chapelle et où elle m’épilait à la cire chaude ma chatte avant que nous nous introduisions chaque bout dans nos vagins.
C’est avec un de ces cierges qu’elle m’a dépucelé dès le premier soir.
Nouveau scandale et là mon père m’a fait comprendre qu’il connaissait un ...