-
J'avais épousé une lesbienne
Datte: 15/03/2018, Catégories: Hardcore, Lesbienne Auteur: NathanPortman, Source: xHamster
Ça avait été une vraie surprise de découvrir que ma copine avait les seins qui pendent. Je ne l’avais toujours connue qu’habillée et je ne me doutais pas de cette surprise. Non seulement ses seins tombaient mais ils étaient mous. Devant mon étonnement, elle m’a demandé si je suis déçu. Bien sûr que je l’étais mais je ne pouvait pas lui avouer. Je lui ai répondu que c’est très sexy. Après, quand nous avons baisé face au miroir et que j’ai vu ses seins valdinguer dans tous les sens, ça m’a vraiment excité. Quand elle est revenue de la salle de bains, elle a joué avec puis elle s’est allongée tout contre moi. Ses fesses appuyaient sur ma bite. J’ai passé la main sous son bras et j’ai attrapé un de ses seins. Je connaissais déjà cette sensation parce que j’avais fait du pain chez mon grand-père. C’était exactement la même sensation qu’avec la pâte. Je le soulevais et il retombait sous son poids. Je n’ai pas tardé à rebander et j’ai dit à ma copine que je l’encule et comme elle ne m’a pas répondu, je m’y suis mis et ma bite est entrée toute seule. J’ai demandé à ma copine si elle s’enculait avec un gode mais elle ne m’a pas répondu et j’ai continué jusqu’à ce que j’éjacule. Après ça, nous nous sommes endormis. Le lendemain matin, il y avait une énorme tache de sperme sur le drap. Ma copine est partie se changer chez elle. A midi, elle est venue pour déjeuner avec moi au restaurant. Dans l’après-midi, elle m’a demandé plusieurs fois si j’aime sa poitrine puis elle m’a ...
... suggéré que sa poitrine est trop grosse. Je voulais qu’elle passe la nuit avec moi mais elle travaillait de bonne heure le lendemain. La semaine suivante, j’avais un déplacement pour mon boulot si bien qu’on est restés longtemps sans nous voir. Heureusement, il y avait le téléphone. J’avais tenté de résister mais j’ai fini par me branler. Je me branlais tout le temps quand j’étais adolescent et je me branlais quand j’étais seul. Il n’y avait que quand j’avais une copine que je m’abstinais de le faire moi-même. Quand nous avons pu baiser à nouveau, nous l’avons fait plusieurs fois dans la nuit. Je me souviens d’au moins trois fois. Le lendemain, j’ai dormi jusqu’au soir. On se voyait le vendredi et le samedi. Je maudissais les jours où elle avait ses règles et où elle risquait d’être enceinte parce qu’elle ne voulait pas prendre la pilule. Je ne voulais pas mettre de capote et elle encore moins de protection. On a fini par se marier, mais c’était plutôt pour plaire à nos mères. La mienne ne s’était jamais mariée. Six mois après, ma femme est tombée enceinte. Ce n’était plus vraiment l’enthousiasme des premiers jours et je me demandais comment faire pour faire remonter la passion. La sodomie, pas terrible. Je pouvais et mon épouse ne se plaignait jamais. Jouir dans sa bouche ? Elle bougonnait mais elle l’acceptait. Un jour qu’on promenait son gros ventre dans le parc de la commune, nous avons croisé deux gouines. Elles ne se cachaient pas et elles s’embrassaient sur la ...