Sexe et mensonge
Datte: 06/10/2019,
Catégories:
ff,
fff,
ffh,
copains,
boitenuit,
Oral
69,
fdanus,
Auteur: Nicogarner, Source: Revebebe
... taquinent les clitoris. C’est Julie qui, sous la langue avide et gourmande de Catherine, succombe la première. Tandis que son corps tout entier se tend comme un arc de cercle, elle étouffe son cri en collant sa bouche contre la fente béante de sa partenaire, ses ongles lacérant la croupe à laquelle elle se cramponne. Julie s’affale, inerte. Mais elle n’a droit à aucun répit.
Catherine, impitoyable, toujours dans la même position, pose sa joue contre son bas-ventre. Julie est empoignée aux hanches et la langue experte de Catherine l’explore à nouveau avec une terrible précision qui la précipite dans une bruyante jouissance. Le cri de Julie se répercute dans la discothèque, couvrant un bref instant la musique.
Comme ivre, elle se relève, ayant du mal à tenir sur ses jambes en se rhabillant à la hâte. Puis, en titubant un peu, s’éloigne, se dirigeant vers les toilettes.
Bruno fait de même, sans un regard en arrière.
Comme si rien ne s’était passé.
Sans le moindre petit signe de gratitude ou de salut.
Goujat jusqu’au bout…
Catherine se redresse, puis attrape à la volée un homme qui passe à cet instant. Sans aucune explication, elle se jette à son cou, l’embrasse fougueusement. L’homme, d’abord surpris, se laisse faire, puis réagit à son tour.
La trentaine, brun aux cheveux bouclés, visage régulier, c’est un beau mâle. Catherine a fait un bon choix, qu’elle ne regrette pas alors qu’il commence à prendre l’initiative des opérations. Mais Catherine l’arrête ...
... d’un geste, puis lui murmure quelque chose à l’oreille. Il hoche la tête, avec un petit sourire entendu.
Puis c’est alors que tous deux, d’un accord commun, se rapprochent vers Mélanie. Celle-ci s’arrête de respirer, serrant les poings.
Elle reste assise, ne sachant comment réagir. Mais n’a aucun mouvement de recul lorsque son amie se penche sur elle, pose ses lèvres sur les siennes, ouvre la bouche, sa langue venant chercher la sienne. Instinctivement, Mélanie dépose sa main sur sa hanche, pour la retenir, la supplier de ne pas aller plus loin.
Mais Catherine se méprend sur son geste. Elle a un violent frisson, sa main se pose sur sa poitrine, massant doucement les seins par-dessus le vêtement. Une simple caresse qui fait bondir Mélanie comme si on l’avait branchée sur du 220 volt. Hors d’haleine, elle ouvre la bouche comme un poisson que l’on sort de l’eau, ce qui facilite les attaques de son amie qui échange toujours avec elle un duel intime de leurs langues. Auquel elle répond avec autant d’audace. Elle ose caresser une cuisse, à la peau extrêmement douce, tandis que Catherine vient la masser au travers du tissu de la robe. Entre ses jambes. Une caresse plus précise qui arrache à Mélanie un cri de surprise. Et qui l’entraîne vers sa propre chute. Sans volonté, elle continue de se laisser faire.
Catherine l’enlace de plus près, l’embrasse toujours, l’affole de caresses expertes, lui faisant suffisamment perdre la tête pour glisser les bretelles de la robe sans ...