1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (6)


    Datte: 05/10/2019, Catégories: Transexuels Auteur: tomy83, Source: Xstory

    Émile est subjugué par nos poitrines. Il se place entre nous deux et soupèse nos mamelles. Il embrasse celui de Malika puis le mien.
    
    — Papa, il bande pour toi... Lui dit Domi.
    
    Il baisse les yeux et me sourit.
    
    — Encore un caprice de ma fille, fit-il en me décalottant. Il me retourne et voit mon bijou anal. Très jolie. Laissons la table pour demain. Allez-vous habiller, Resto ce soir.
    
    Malika lui saute au cou et lui roule un patin d’enfer. Elle me regarde et me pousse vers la bouche d’Émile. La langue d’Émile s’enroule à la mienne. Je ne résiste pas et je me surprends à aimer.
    
    Émile est venu choisir ma tenue. Elle se compose d’un tee-shirt blanc très classe et de grande marque, sans manche. On peut voir la naissance de mes seins à chaque mouvement de bras. Évidemment, un décolleté très profond. Un mini-short en cuir noir et un gilet-filet. Il m’a choisi des escarpins à talon plat. Merci Émile. Il m’a offert un ras-de-cou noir, deux bracelets assortis et un sac à main, plus pochette que sac.
    
    Quand je vois Malika, je suis subjuguée. Elle porte une robe fuseau rouge. Elle lui moule le corps à la perfection. De chaque côté, deux fentes à mi-cuisses. Des talons d’au moins dix centimètres viennent parfaire sa tenue.
    
    Évidemment, ni elle ni moi ne portons de dessous. Quant à Domi, elle porte un tailleur strict et une jupe noire et de petits escarpins, comme moi, sans talon.
    
    — Papa ! On va être en retard.
    
    — Oui, oui, on y va...
    
    Malika monte à l’arrière de ...
    ... la grosse berline noire avec Émile. Moi, à l’avant, aux côtés de Domi qui prend le volant. Je me retourne et je vois qu’elle n’a pas perdu de temps, elle embrasse son maitre et amant amoureusement. Pourquoi lui en vouloir.
    
    On arrive devant un restaurant étoilé de Montpellier. En bonne chauffeuse, Dominique ouvre la porte à son père. Je fais le tour pour les rejoindre mais Malika est déjà au bras d’Émile. Domi me prend la main.
    
    — Ne t’inquiète pas. C’est toujours comme cela et il va falloir t’y faire.
    
    Émile connait les lieux. On est installé à une table dans une petite alcôve. Vu le nombre de couverts et de verres il va falloir bien se comporter. On boit de l’excellent champagne millésimé, on mange, très peu à mon goût.
    
    — Vous n’irez pas danser et me laisser seul avec Malika ? Dit Émile après un fabuleux dessert. On vous rejoint très vite.
    
    On ne discute pas et Domi m’entraine dans un dédale de couloirs. Refaire le chemin inverse me serait impossible. Après avoir marché bien dix minutes dans les couloirs de l’hôtel, on arrive devant une double porte noire. Elle toque. Une petite fenêtre s’ouvre.
    
    — Ah Domi, lui dit une voix féminine.
    
    La lourde porte métallique s’ouvre. Domi rentre en m’entrainant. Je suis dans un couloir aux parois recouvertes de velours rouge. L’éclairage est subtil. La femme qui nous accueille est fluette, petite et un visage de poupon. Sa tenue vestimentaire donne le ton, on n’est pas venu pour tricoter. Elle porte un soutien push-up en ...
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