1. Sylviane, pute à en devenir. (12)


    Datte: 04/10/2019, Catégories: Trash, Auteur: tomy83, Source: Xstory

    Après s’être profondément lavées et "rhabillées", on part rejoindre ma voiture. Je les suis et elles ont toutes une drôle de démarche. Je souris en pensant les mètres de bites qu’elles ont prises.
    
    Le retour est calme, personne ne pipe mot. Arrivée en bas de l’immeuble, je les fais mettre nues et ordonne de prendre les escaliers. Je prends évidemment l’ascenseur. J’arrive le premier, j’ouvre la porte et les attends. Aurélie est la première à entrer, suivie de près par sa mère. Amandine souffle comme une vieille locomotive, elle est rouge pivoine. Je me sers une boisson énergisante, j’en propose une aux trois filles. Je m’assois dans mon fauteuil. Aurélie et sa maman sont en position d’attente, à genoux, et mains derrière la nuque. Amandine reste debout, ne sachant que faire.
    
    — Puisque tu es nouvelle dans notre trio, qui devient quatuor, je ne te punirai donc pas. Tu n’avais pas de position chez Maîtresse Cathy ?
    
    — Si...
    
    — Tu as déjà perdu les politesses ?
    
    — Si... Monsieur.
    
    — Mets-toi en position.
    
    Elle s’avance vers la table basse et se met à quatre pattes dessus, relève la tête, se cambre et ouvre la bouche. Ses gros seins pendent, on dirait ceux de sa génitrice. Elle a écarté les jambes, on peut voir sa chatte dégouliner. Cathy a bien fait de l’amener à l’épilation laser. Elle est lisse de partout, même les sourcils ont été remplacés par un fin tatouage. Ça lui donne un petit côté salope.
    
    — Aurélie, j’ai faim. Fais-nous quelque chose de rapide.
    
    — ...
    ... Oui, Monsieur. Il reste des steaks hachés... Avec des frites ?
    
    — Très bien. Tu nous serviras à la cuisine.
    
    — Bien Monsieur, il sera fait selon vos désirs, me répond-elle en souriant.
    
    Elle sait, après sa mère, que je lui porte une affection particulière. Je me lève et compare mère et fille. J’ai la copie conforme de la mère devant les yeux, mais une vingtaine d’années en moins. Je lui dis de me suivre dans sa chambre. Elle est étonnée de n’y trouver qu’un bureau et une chaise, son couchage étant composé du matelas recouvert d’une alèse. Je lui tends une couverture.
    
    — Voilà, c’est ici que tu passeras le plus clair de ton temps. Le matin debout, sans bruit. Tu étudies ce que je t’ai donné la veille. Ensuite, tu t’attaqueras au ménage de ta chambre et des pièces communes. Interdiction de rentrer dans la nôtre et celle de ta sœur. Ne t’inquiète pas, Aurélie a aussi des tâches à accomplir, elle les connaît. Tu devras obéissance absolue à ta mère et à ta petite sœur. Pour l’instant, c’est tout.
    
    Je repars vers le salon, ça sent bon la frite. Comme d’habitude, Aurélie s’est surpassée et a fait d’un simple steak haché frites, un excellent repas. Une fois rassasié, j’envoie Aurélie se coucher, il faut qu’elle se lève tôt pour faire notre marché au cours Mirabeau. Tradition oblige, elle ira nue sous son grand manteau noir. Elle me fait la bise et s’en va sans discuter.
    
    J’ai une vue imprenable sur deux fessiers presque identiques en train de faire la vaisselle. Elles font ...
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