1. Terma 22 - Dépucelage de Madhi par ammi Ali :


    Datte: 03/10/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Noura, Source: Hds

    Pour prendre un peu de repos sur mes histoires de famille, voici encore une autre petite histoire que m’a raconté un de mes amis qui se rappelle ses débuts et son dépucelage. Je lui laisse la parole :
    
    Je suis Madhi. Etudiant mais avec si peu de sous, j’ai du accepter de partager, comme gite, avec un collègue maçon Ali, un arabe émigré, sa baraque composée d’une pièce, un coin cuisine et un cagibi toilettes. Nous travaillons dans un chantier de construction ou j’étais pointeur. Ali était grand et costaud, poilu, très brun de peau et maitrisant très mal le français, mais bosseur et porté sur le sexe.
    
    Comme il était nettement mieux payé que moi et plus âgé, j’avais 19 ans et lui 40, c’etait lui qui faisait les dépenses et moi les travaux, préparation repas, nettoyages local, draps, couvertures et même vêtements et bien sur la vaisselle. Comme il n’y avait qu’un lit, on se couchait cote à cote et même souvent, serrés l’un dans les bras de l’autre.
    
    C’était gênant pour moi mais Ali trouvait que nous nous connaissions mieux ainsi pour nous aider. Il aimait le contact et ça nous réchauffait. « sadri 3ala sadak ouala 3ala dhahrak, n’za3kou al barad » (ma poitrine contre la tienne ou contre ton dos, ça fait fuir le froid) m’a-t-il souvent dit, en se collant à moi. J’étais trop timide pour refuser et ça me réchauffait réellement le corps.
    
    Il avait une nana qu’il ramenait chaque soir, sans faute, vers 17h, lui faisait l’amour pendant une ou deux heures, puis la renvoyait. ...
    ... Moi, j’attendais dehors qu’ils finissent, et je continuais mon travail de cuisine après. Il m’a proposé de m’amener une fille mais j’ai refusé, sans lui avouer que j’étais puceau et que je n’étais amateur que de masturbations solitaires. Quant nous nous couchions, je sentais l’odeur du sperme de mon ami et le parfum de la fille et cela m’excitait.
    
    Tout marchait bien pendant deux mois. Mais un soir, la fille n’est pas venue et Ali était en rogne. Il ne faisait que se masser la bite a travers sa braguette et il tournait en rond. « Al kahba ma jatach ! » (la pute n’est pas venue !). « Wana zébi rah m’tanane ! » ( et mon zob est gonflé). « Lazem e’nik bah n’bardou ! » ( je dois baiser pour le calmer !). Mais la fille ne venait pas et Ali devenait enragé. Dans son coin de lit, il a même sorti sa bite et il la frottait pour la calmer. Je la voyais du coin cuisine mais en douce car Ali commençait à me faire peur. Il répétait « lazemli souwa skhouna wala terma ! » (il me une vulve échaudée ou un cul).
    
    Après notre diner vers 21h, en silence, on est allé se coucher comme d’habitude car on doit se lever tôt pour le travail. Face à lui, je voyais qu’il souffrait, alors je lui ai tourné le dos. Après un moment, j’ai senti sa bite gonflée qui me piquait le derrière. Je me suis écarté et nous étions gênés. Ali s’agitait trop dans le lit et m’empêchait de dormir, alors je le lui ai dit. Il m’a répondu que sa bite a besoin de se soulager. Je lui ai proposé de se branler tout simplement. Il ...
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